Illustration infographique intitulée En chiffres nous permet d’en savoir plus sur le taux d’activité des élèves et des enseignants. Lisez Bougez! L’auteur, Steve Brearton, a réparti l’information en sept sections.
La première section Année charnière souligne qu’en 2005, le ministère de l’Éducation introduit 20 minutes d’activité physique quotidienne dans les écoles élémentaires.
La deuxième section Personnel enseignant indique le pourcentage des écoles élémentaires ayant une enseignante ou un enseignant d’éducation physique à temps plein ou à temps partiel : 30 % des écoles en 2005; 41 % en 2007; 40 % en 2009; 43 % en 2011; 45 % en 2013.
La troisième But ultime illustre les exigences en matière d’activité physique au fil des années : à l’élémentaire, en 1887, 150 minutes par semaine de manœuvres, de gymnastique et de callisthénie par rapport à 100 minutes par semaine, en 2013, de marche en écoutant de la musique et de saut à la corde; au secondaire, en 1887, 150 minutes par semaine de manœuvres, de gymnastique et de callisthénie par rapport à 1 crédit en éducation physique pour obtenir son diplôme.
La quatrième Sédentarité précise que la Société canadienne de physiologie de l’exercice recommande 60 minutes d’activité quotidienne modérée à vigoureuse. Le taux de Canadiens de 5 à 11 ans qui suivent cette recommandation est de 7 %, alors que le taux des élèves de 12 à 17 ans est de 4 %.
La cinquième Beaux joueurs montre que le pourcentage des élèves du secondaire pratiquant des sports à l’école est de 25 %.
La sixième Détente affirme que les élèves doivent obtenir un crédit en éducation physique pour recevoir leur diplôme. Après la 9e année, le taux de participation baisse considérablement. Voici le pourcentage des élèves du secondaire qui ont suivi des cours d’éducation physique en 2006 : 98 % en 9e année; 50 % en 10e année; 43 % en 11e année; 36 % en 12e année.
La septième Aire de jeux explique qu’il n’y a aucun mal à laisser les filles «s’ébattre» et profiter du plein air. Il devrait y avoir, dans chaque cour d’école, une section clôturée pour que les filles puissent jouer au ballon, au tennis et à d’autres jeux. Plus de vigueur physique et moins de musique et de peinture serait bénéfique pour la plupart des jeunes femmes.» John Millar, sous-ministre de l’Éducation, a formulé ce commentaire en 1896.