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Posez votre candidature au conseil afin de communiquer, d’encourager et d’inspirer… comme vous le faites tous les jours!
De Liz Papadopoulos, EAO
PHOTO : Matthew plexma Enfants : iStock
Pourquoi avez-vous choisi d’enseigner? Sans doute pour les mêmes raisons que moi : pour communiquer votre amour de l’apprentissage et inspirer les élèves à voir grand et à rêver encore plus grand. En fait, ma liste de motivations est bien plus longue, mais la raison pour laquelle je suis devenue enseignante est mon profond intérêt pour l’avenir de la prochaine génération.
C’est aussi pour cette raison que j’ai posé ma candidature aux élections du conseil et que je vous encourage à faire de même.
Pour influencer la prochaine génération d’élèves ainsi que la profession enseignante de l’Ontario. Votre expérience au conseil sera l’un des défis les plus importants et les plus stimulants de votre vie.
En travaillant avec d’autres professionnels passionnés, vous contribuerez à façonner les politiques éducatives de la province dans l’intérêt du public. Vous collaborerez étroitement avec des leaders du domaine de l’éducation de l’Ontario et du monde entier.
Autrement dit, vous développerez vos compétences professionnelles, renforcerez le système d’éducation et veillerez à la sécurité des élèves. Vous rencontrerez aussi des gens intéressants.
Vous pourrez non seulement façonner des politiques éducatives, mais aussi les mettre en œuvre. Pas besoin d’abandonner l’enseignement pour siéger au conseil; bon nombre de membres du conseil peuvent continuer d’enseigner à temps plein et ne s’en privent pas d’ailleurs.
Les pédagogues de l’Ontario sont uniques. Saviez-vous que l’Ordre est le seul organisme d’autoréglementation de la profession enseignante au Canada? Cela signifie que nous pouvons déterminer les qualifications requises pour enseigner, les normes élevées auxquelles nous souhaitons adhérer et ce que signifie être enseignant en Ontario. Siéger au conseil vous permettra de transformer ces idées en réalité à plus grande échelle.
Je suis présidente du conseil depuis 2009. Je ne peux plus poser ma candidature, car la loi ne permet pas d’occuper un poste pendant plus de sept années consécutives. Travailler au conseil me manquera, mais il est temps de céder ma place à de nouveaux leaders et à de nouvelles idées.
Les pédagogues de l’Ontario sont à un tournant. Le conseil vient d’établir ses priorités stratégiques, lesquelles seront réexaminées au cours des prochaines années. La régie et la supervision de notre organisme de réglementation sont indispensables à son bon fonctionnement.
Notre système d’éducation a besoin de vous comme source de partage et d’inspiration. Les pédagogues de l’Ontario ont besoin de vous pour continuer de bâtir l’avenir du système d’éducation. Les élèves ont besoin que vous les aidiez à devenir encore plus forts.
* Si vous aviez posé votre candidature en 2012, présentez-vous de nouveau. La persévérance est une grande qualité quand on est enseignant!
Les journées de célébration que nous soulignons illustrent certaines des valeurs que nous chérissons en tant que société.
Le 16 septembre est la Journée de la belle-famille. Créée il y a plusieurs années, elle souligne l’évolution de l’unité familiale et l’importance de le célébrer.
Selon le dernier recensement national au Canada (le premier à tenir compte des belles-familles officiellement), près de 13 pour cent des familles avec enfants au pays sont des familles recomposées.
Pour offrir aux élèves le meilleur milieu d’apprentissage possible, travailler avec les parents est indispensable. Travailler avec les beaux-parents et les tuteurs non traditionnels, comme les familles d’accueil et les grands-parents, est tout aussi important. Nous nous devons de les faire participer pour assurer la réussite de tous les élèves.
Dans le contexte de nos activités quotidiennes, cela pourrait signifier toutes sortes de choses, comme organiser plus d’une rencontre parents-enseignants, envoyer plusieurs avis pour recruter des bénévoles ou ajuster notre manière de communiquer avec les familles. Il s’agit simplement de tenir compte de la dynamique familiale de chaque enfant.
Cela peut être difficile parfois, mais, selon mon expérience d’enseignante et de belle-mère, je vous assure que les résultats ne peuvent qu’être positifs. Après tout, l’élève est la personne la plus importante du portrait familial.
