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Courrier des lecteurs

Pour parler profession vous invite à écrire des lettres et des articles sur des domaines d’intérêt pour la profession. Nous nous réservons le droit d’abréger vos textes. Pour être considérée aux fins de publication, une lettre doit comporter le numéro de téléphone de jour de son auteur. Envoyez votre texte à revue@oeeo.ca ou à Rédaction, Pour parler profession, 101, rue Bloor Ouest, Toronto (Ontario) M5S 0A1.

Enseigner à l’étranger

Illustration de la rubrique «Nouveaux horizons» publié dans <em>Pour parler profession</em></em>.

En tant qu’enseignant agréé de l’Ontario ayant travaillé à l’étranger durant 16 de mes 23 années de carrière, j’aimerais commenter l’article «Nouveaux horizons» (juin 2014).

Les occasions présentées dans l’article ne sont que la pointe de l’iceberg. Je recommande de s’abonner à un journal comme The International Educator (tieonline.com) et de s’inscrire à une agence internationale de placement d’enseignants reconnue.

Bien que l’article montre que l’enseignement à l’étranger est une possibilité intéressante, je trouve dommage que les nouveaux diplômés vivent les conséquences d’une décennie de surplus d’enseignants.

Je trouve encore plus dommage que l’expérience que les jeunes enseignants acquièrent à l’étranger ne compte pas quand ils reviennent au pays et subissent le processus d’embauche décrit dans le Règlement 274/12.

L’article suggère un moyen pour les enseignants sans emploi d’entrer dans la profession. Cependant, jusqu’à ce que les écoles de la province reconnaissent l’expérience acquise à l’étranger, les nouveaux enseignants continueront probablement de préférer le chômage à l’enseignement à l’étranger.

Bryce McBride, EAO, enseignant d’économie et de mathématiques, programme de baccalauréat international, Raha International School, Abou Dabi (Émirats arabes unis)

Photo d’une salle de classe en Tanzanie où l’enseignant est assis à un pupitre à côté de deux élèves.

En tant qu’enseignante à la retraite et mère d’un enseignant employé à Hong Kong, j’ai trouvé l’article «Nouveaux horizons» (juin 2014) très intéressant. Cette perspective d’emploi est certes très gratifiante, mais je trouve inquiétant que tant de jeunes professionnels enthousiastes n’aient d’autres choix que de partir.

S’ils reviennent au pays après une année ou deux, et sont assez chanceux pour décrocher un emploi en enseignement, ce sera vraisemblablement de la suppléance. De plus, ils perdront d’importantes années de contribution au régime de retraite et certains d’entre eux n’auront jamais enseigné le curriculum de l’Ontario.

Votre article, qui brosse un tableau positif des enseignants agréés de l’Ontario qui enseignent à l’étranger, me rappelle combien une carrière en enseignement est précaire en Ontario.

Lynn Opre, enseignante à la retraite, auparavant à la San Lorenzo Ruiz Elementary School, Mississauga

Cotisation des suppléants (Lettres, juin 2014)

L’Ordre est un organisme professionnel. Les membres paient une cotisation pour être reconnus en tant que professionnels. L’Ordre ne doit pas fixer de cotisation spéciale pour les suppléants ou les enseignants à temps partiel.

Je suis une enseignante agréée de l’Ontario, mais j’ai quitté l’enseignement par manque de travail dans mon domaine. J’ai trouvé un emploi stable et agréable, mais je reçois la fraction du salaire d’un enseignant. Comme j’ai acquis le droit d’être membre de l’Ordre, je ne vais pas me plaindre pour 150 $ par an.

Sheila Gushue, EAO, a été suppléante pendant quelques années dans la région de North Bay

Carrières de rechange

Ces quelques dernières années, j’ai remarqué que Pour parler profession présentait des statistiques sur la pénurie de postes en enseignement dans la province. Plus récemment, j’ai été heureuse de lire des articles sur d’autres options de carrière pour les pédagogues ayant choisi de travailler à l’extérieur de la salle de classe. De nombreuses personnes, comme moi, font de la suppléance pendant longtemps avant de décider de se tourner vers une autre carrière qui leur permette d’utiliser leurs vastes compétences. J’aimerais voir plus d’articles à ce sujet dans les prochains numéros.

Joanne Bruno, EAO, suppléante, Durham Catholic District School Board et Peterborough Victoria Northumberland and Clarington Catholic District School Board

Illustration de l’article «Déterrer des carrières» publié dans <em>Pour parler profession</em></em>.

Errata : À la section des audiences du numéro de juin dernier, on nommait incorrectement dans le premier sommaire de décision le Waterloo Catholic District School Board comme l’employeur du membre en cause. Il s’agissait en fait du Waterloo Region District School Board.

Dans l’article «Nouveaux horizons» (juin 2014), les hyperliens de la FEEO et de l’OECTA ont été inversés. Nous nous excusons de ces erreurs.

Cercle des gagnants

Christopher Joseph, EAO, est l’heureux gagnant de l’ensemble-cadeau de Cineplex d’une valeur de 150 $. Ce suppléant du Toronto District School Board a été sélectionné au hasard après avoir répondu à notre sondage en ligne sur les ressources utiles pour planifier des leçons («Plan d’action», juin 2014, p. 11).

Karen Friedman, EAO, surintendante au sein du York Region District School Board, a gagné un exemplaire signé de Paikin and the Premiers: Personal Reflections on a Half Century of Ontario Leaders («Examen final : Steve Paikin», juin 2014, p. 80), pour avoir suivi nos gazouillis sur Twitter.