Partagez cette page 

Courrier des lecteurs

Pour parler profession vous invite à écrire des lettres et des articles sur des domaines d’intérêt pour la profession. Nous nous réservons le droit d’abréger vos textes. Pour être considérée aux fins de publication, une lettre doit comporter le numéro de téléphone de jour de son auteur. Envoyez votre texte à revue@oeeo.ca ou à Rédaction, Pour parler profession, 101, rue Bloor Ouest, Toronto (Ontario) M5S 0A1.

Message ambigu

Illustration d’une publicité de l’Ordre représentant un élève accroché à la lettre E. Illustration de l’article «Pour manger mieux» dans <em>Pour parler profession</em></em>. Illustration de l’article «Nos bénévoles, un capital humain» dans <em>Pour parler profession</em></em>.

Il est décevant que l’article «Pour manger mieux» (sept. 2014) ait été suivi d’une photo où l’on voit une bénévole offrir des sucreries à un élève («Nos bénévoles, un capital humain»). Quand j’ai pris ma retraite, il y a déjà plusieurs années, le ministère de l’Éducation de l’Ontario avait commencé à élaborer des politiques exigeant des choix alimentaires plus sains dans les ventes de pâtisseries afin de favoriser de bonnes habitudes alimentaires dans les écoles.

J’espère que ce genre de collecte de fonds est l’exception plutôt que la norme et que l’adoption de saines habitudes de vie se poursuit grâce à des pédagogues qui se soucient des habitudes alimentaires de leurs élèves, à l’école comme à la maison.

—Patricia Drimmie, EAO, enseignante de 3e et 4e année à la Confederation Central School de Sarnia

Je tiens d’abord à vous remercier pour les merveilleux articles que vous publiez. L’article «Pour manger mieux» (sept. 2014) abordait l’importance d’une bonne alimentation et était bien écrit. Malheureusement, à la page 34, la photo de la vente de pâtisseries contredit tout ce qui a été présenté aux pages précédentes. Une bénévole en train de servir des beignes sucrés et des petits gâteaux recouverts de bonbons n’envoie pas le bon message sur ce que nos écoles doivent promouvoir.

—Roberto Santos, EAO, directeur de la St. Stephen Catholic School de Stittsville

Dans le numéro de septembre 2014 de Pour parler profession, plusieurs pages ont été consacrées à l’importance d’une saine alimentation. Bravo! Toutefois, dans l’article qui suit, on voit une bénévole qui participe à une vente de desserts! Il semble y avoir une certaine ambiguïté dans le message véhiculé.

—Serge Brisson, EAO, directeur de l’école élémentaire catholique Saint-Thomas-d’Aquin de Sarnia, Conseil scolaire catholique Providence

Ayant consacré toute ma carrière à la promotion d’un mode de vie sain, j’ai été heureuse de voir un article sur la nutrition à l’école (sept. 2014). Les pédagogues qui ont fait part de leurs expériences ont présenté des idées pratiques pour intégrer de saines habitudes de vie au curriculum.

Notre conseil scolaire, le Waterloo Catholic District School Board, en collaboration avec le service de santé publique de la région de Waterloo, a travaillé sans relâche pour que nos élèves fassent d’une saine alimentation leur priorité. Comme vous le dites dans le chapeau de l’article, les pédagogues ont un rôle important à jouer dans la promotion de saines habitudes de vie chez leurs élèves, mais, comme nous l’avons constaté, tous les adultes qui travaillent dans le milieu scolaire y ont aussi un rôle à jouer.

J’ai été déçue de tourner la page et de voir la photo d’une bénévole en train de servir aux élèves des beignes, des petits gâteaux, des bonbons et autres sucreries. Si nous voulons un système d’éducation qui prendra à bras-le-corps le problème de l’obésité que connaît notre pays, notre message doit être cohérent en tout temps – surtout si l’on influence directement la vie de nos élèves.

—Kathy Doherty Masters, EAO, enseignante à temps partiel à la Holy Rosary Catholic School de Waterloo et consultante à temps partiel en modes de vie sains et actifs pour le Waterloo Catholic District School Board

Enseigner à l’étranger

Illustration de l’article «Nouveaux horizons» dans <em>Pour parler profession</em></em>.

J’ai été très heureux de lire l’article «Nouveaux horizons» (juin 2014). Six mois après l’obtention de mon B. Éd. de l’Université York, il y a cinq ans, j’ai décidé d’aller en Corée du Sud sur un coup de tête, et j’enseigne à l’étranger depuis. Le temps que j’ai passé à enseigner l’anglais langue seconde dans des écoles canadiennes et américaines à l’étranger m’a permis de perfectionner mes compétences en enseignement, tout en me plongeant dans une autre culture. Enseigner dans une école internationale est une expérience unique, car les pédagogues ont été formés partout dans le monde et profitent de leurs compétences mutuelles.

—Andrew Shutsa, EAO, enseignant de 1re année à l’Université américaine à Dubaï, Émirats arabes unis

Parcours atypique

Illustration de l’article «Déterrer des carrières» dans <em>Pour parler profession</em></em>.

Nombreux sont les étudiants qui, comme moi, ont peur de ne pas trouver un emploi en enseignement à temps plein après l’obtention de leur diplôme. J’ai été ravie de lire «Déterrer des carrières» (mars 2014) et de voir que des diplômés qui ont choisi un autre parcours en enseignement ont réussi. Cet article est rassurant pour les futurs pédagogues et m’a ouvert les yeux sur les carrières non traditionnelles qui s’offrent à moi en enseignement.

—Winnie Wong, étudiante à la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa