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Courrier des lecteurs

Pour parler profession vous invite à écrire des lettres et des articles sur des domaines d’intérêt pour la profession. Nous nous réservons le droit d’abréger vos textes. Pour être considérée aux fins de publication, une lettre doit comporter le numéro de téléphone de jour de son auteur. Envoyez votre texte à revue@oeeo.ca ou à Rédaction, Pour parler profession, 101, rue Bloor Ouest, Toronto (Ontario) M5S 0A1.

L’expérience à l’étranger, ça compte!

Les pédagogues qui travaillent à l’étranger doivent surmonter de nombreux obstacles et défis : enseigner à des élèves dont l’anglais est une seconde langue; s’adapter à un nouveau pays et à de nouvelles attitudes et normes culturelles. Et pourtant, quand les enseignants postulent des emplois au Canada, leur expérience à l’étranger ne compte pas autant que celle acquise ici. Les pédagogues qui ont enseigné à l’étranger ont eux aussi élaboré des plans de leçon, rendu des comptes aux administrateurs, aux parents et aux élèves, participé à des activités parascolaires, produit des bulletins scolaires, rencontré des parents, aidé des élèves ayant des troubles de comportement et enseigné à différents niveaux au sein d’une classe.

Nous allons à l’étranger pour acquérir de l’expérience à temps plein, chose difficile à obtenir [pour les nouveaux enseignants] au Canada. Outre l’expérience acquise, nous découvrons d’autres pays et différentes cultures. Le Canada est un pays multiculturel – on le voit dans la salle de classe –, et ceux d’entre nous qui ont enseigné outre-mer sont les mieux placés pour comprendre les élèves d’horizons divers.

—Susanna Wallis, EAO, enseigne la maternelle à la Sinarmas World Academy, une école internationale située à Bumi Serpong Damai City, en Indonésie.

Merci!

Illustration de la rubrique «Lu, vu, entendu» publié dans <em>Pour parler profession</em></em>.

Permettez-moi de vous dire combien j’ai apprécié collaborer, cette année scolaire encore, à la rubrique «Lu, vu, entendu».

Je voudrais partager avec vous trois faits qui illustrent à quel point cette rubrique est suivie par les membres de l’Ordre : après avoir lu ma critique du roman Taxi en cavale de Louis Émond, un collègue en a commandé une vingtaine d’exemplaires pour sa classe de 7e année; une collègue a affiché ma critique du récit L’Odeur du café de Dany Laferrière près de la photocopieuse; enfin, au lendemain de la publication de ma critique de Céleste ma planète de Timothée de Fombelle, une collègue m’a emprunté ce livre pour le lire.

Je suis convaincu que les autres contributeurs à «Lu, vu, entendu» ont vécu, eux aussi, ces moments de partage entre collègues.

Et le succès de la rubrique commence par le choix des livres que vous proposez à l’équipe de critiques.

Bertrand Ndeffo Ladjape Mba, EAO, enseignant de français, 11e et 12e année, au Collège français de Toronto, Conseil scolaire Viamonde.

Les bibliothèques scolaires dans l’oubli

Illustration de la page couverture de<em>Pour parler profession</em></em>, septembre 2015.

En lisant votre numéro de septembre, j’ai remarqué une omission flagrante : plusieurs articles soulignent l’importance des ouvrages contemporains, de la technologie et des lieux d’apprentissage. Toutefois, on ne fait aucune mention de la bibliothèque de l’école, des installations d’apprentissage ou de la pratique consistant à associer un pédagogue à un enseignant-bibliothécaire dans le but de trouver, d’acquérir et de fournir tous ces outils et lieux d’apprentissage.

J’encourage le personnel, les collaborateurs et les lecteurs de Pour parler profession à réfléchir à la manière dont les pédagogues des quatre coins de notre province trouvent, achètent et mettent à la disposition des élèves les livres, les ressources pédagogiques, la technologie et les lieux qui aident à atteindre les importants objectifs d’apprentissage abordés dans le numéro de septembre.

Peggy Lunn, EAO, ancienne enseignante au secondaire et enseignante-bibliothécaire, est la bibliothécaire du Teacher Resource Centre de l’Université Queen’s, à Kingston.

Enseigner la justice sociale

Je vous remercie de l’excellent article d’Helen Dolik, «Pour l’intérêt supérieur». De la narration de contes aux recueils de citations célèbres, j’ai pris plaisir à découvrir les différentes stratégies utilisées pour enseigner la justice sociale.

J’ai également aimé pouvoir le lire en français et en ligne!

Lise Presseault, EAO, ancienne agente de programme à l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.