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Dans la pratique

Illustration : Simone Martin-Newberry

Illustration de six personnes jouant aux cartes

Les médias sociaux ont de nombreux avantages pour les ados, mais l’atteinte à la vie privée, la cyberintimidation, la dépendance à l’internet et la pornographie posent de sérieux défis.

Il y a trois ans, j’ai créé Don’t Hate the Player. Le principe du jeu est le suivant : les élèves rédigent un récit sur une expérience en ligne à partir de cartes de situations et de personnages tirées d’un jeu de 92 cartes. Par exemple, ils doivent écrire à propos d’un cyberintimidateur, d’un partenaire qui diffuse des images sans leur permission ou de sentiments dépressifs liés à l’utilisation des médias sociaux. Ils trouvent des solutions à leur situation et apprennent de l’expérience des autres en même temps.

Il y a deux ans, j’ai présenté le jeu au congrès de l’Ontario Art Education Association. J’ai commencé à l’utiliser comme outil d’enseignement à la Central Technical School, et c’est un franc succès jusqu’à présent!

Elizabeth Basskin, EAO, suppléante pour le Toronto District School Board


Les vidéoconférences

De Stefan Dubowski

Puisque vous êtes nombreux à vous tourner vers la vidéoconférence pour communiquer avec les élèves, nous avons publié des lignes directrices qui vous aideront à utiliser cette technologie en toute sécurité (oct-oeeo.ca/videoconferences).

La vidéoconférence est un moyen de communication précieux lorsque les élèves ne sont pas avec vous en salle de classe. Elle leur permet de sentir qu’ils sont de la partie, même quand ils sont loin de leurs pairs et de l’école. Mais avec les nouveaux outils viennent de nouvelles responsabilités et de nouveaux défis. «Ce moyen de communication soulève des questions concernant la technologie, la sécurité, la protection des renseignements personnels, la confidentialité et le consentement», peut-on lire dans les lignes directrices, dont voici les principales recommandations :

Les lignes directrices mentionnent aussi nos recommandations professionnelles pour vous aider à gérer les cas d’intimidation et à favoriser la santé mentale des élèves, puisqu’il s’agit là de facteurs pouvant compliquer la communication en ligne.

Dernier conseil : «Soyez patient avec vous-même, vos élèves, les parents et les tutrices ou tuteurs».