L'éducation
de l'enfance en difficulté au Ministère
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de Leanne
Miller
Le ministère de l'Éducation a fait des modifications d'importance sur les subventions à l'éducation de l'enfance en difficulté depuis 1998. Modifications
au CIPR Les écoles doivent fournir un guide pour les parents plus détaillé sur les responsabilités des comités. Quand il rend sa décision, le comité doit définir à la fois les forces et les besoins de l'élève, et inclure l'anomalie de l'élève, ainsi que la définition de celle-ci. On a ainsi un profil de l'élève plus complet, qui appuiera la décision de placement dans une classe ordinaire ou spéciale. Le CIPR doit également fournir les coordonnées des écoles d'application et la liste des organismes de parents pouvant faire partie d'un comité consultatif sur l'éducation de l'enfance en difficulté. Les parents auront accès à des ressources qui les aideront à mieux comprendre de quoi il est question aux réunions du CIPR. Si un parent veut interjeter appel d'une décision du CIPR, le comité d'appel comprendra un membre choisi par le conseil scolaire, un membre choisi par le parent et un président choisi conjointement. Auparavant, le conseil scolaire choisissait deux membres et les parents, un. Le comité a maintenant des délais spécifiques pour identifier et placer les élèves, et les responsabilités du directeur sont clairement définies. Plan
d'enseignement individualisé Le plan doit tenir compte des recommandations du CIPR. Le parent et l'élève de 16 ans ou plus doivent être consultés pour l'élaboration du PEI. À moins d'être surdoués, les élèves de 14 ans ou plus doivent avoir un plan de transition dans leur PEI, qui comprend la consultation d'organismes communautaires et d'établissements postsecondaires. Le parent et l'élève de 16 ans ou plus reçoivent un exemplaire du PEI et un exemplaire du plan est gardé dans le dossier scolaire de l'Ontario. Subvention
pour l'enfance en difficulté Les conseils scolaires reçoivent aussi jusqu'à dix subventions spéciales, dont la Subvention pour l'éducation de l'enfance en difficulté. Les conseils peuvent aussi utiliser de l'argent d'autres subventions spéciales pour les élèves identifiés (transports, langue, etc.). La subvention pour l'éducation de l'enfance en difficulté vise deux catégories de financement. La première, l'allocation générale par élève en difficulté, est fonction de l'effectif du conseil scolaire et non pas seulement du nombre d'élèves identifiés comme étant en difficulté. Elle fournit l'argent nécessaire pour la majorité des élèves présentant des anomalies relativement communes. La deuxième est l'allocation d'aide spécialisée. L'argent permet aux conseils de fournir des services, généralement plus de personnel, aux élèves qui ont des besoins plus nombreux. Le financement se fonde sur le profil de l'élève. Chaque profil, par exemple l'autisme ou les troubles d'apprentissage, compte des descripteurs précis des besoins des élèves. Commentaires
Chaque conseil scolaire de district doit avoir un comité consultatif sur l'éducation de l'enfance en difficulté composé entre autres de représentants des associations locales intéressées aux enfants en difficulté et de membres du conseil scolaire. Ces comités formulent des recommandations au conseil sur l'élaboration et la prestation de programmes. Les comités sont inclus dans la révision annuelle du plan sur l'enfance en difficulté du conseil et du budget. À
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