Melissa Grelo explique comment le saut à la corde, Cheez WhizMD et Gloria Steinem font bon ménage.
De Laura Bickle
Photo : avec la permission de CTV/Todd Fraser; billets : iStock
NOM : Melissa Grelo
Décrivez l’élève que vous étiez.
Énergique à en être exaspérante. Engagée.
Comment étiez-vous à l’élémentaire?
Attentive, à l’écoute, meneuse.
Et au secondaire?
Affirmée, engagée, meneuse.
Quelle était votre matière préférée?
Je les aimais toutes, particulièrement les maths. Je dirigeais le club de maths; j’avais une moyenne de 99 pour cent.
Et la plus difficile?
Les arts visuels. Pas mon point fort!
Quelles sont les œuvres étudiées les plus mémorables?
Une révolution intérieure de Gloria Steinem et Quand la beauté fait mal de Naomi Wolf. Ces ouvrages m’ont permis de remettre en question mon image, la façon dont les autres me voyaient et ma contribution à la société.
Qui sont vos idoles?
Gloria Steinem et Sheryl Sandberg (auteure d’En avant toutes).
Que rêviez-vous de devenir?
Quand j’étais très jeune, vétérinaire. Après tout, j’habitais une ferme équestre. Mais, au secondaire, je voulais devenir enseignante.
Ce que vous aimiez faire pendant la récréation?
Jouer à la tag ou au handball, et sauter à la corde.
Votre repas préféré à l’école?
Un sandwich au Cheez WhizMD.
Vos activités parascolaires préférées?
Volleyball et club de mathématiques.
Quel pédagogue est resté gravé dans votre mémoire et pourquoi?
Michael Horton, EAO, mon enseignant d’anglais au secondaire. C’est grâce à lui si j’ai l’esprit curieux. Il n’était pas traditionnel; ses cours ressemblaient à des conférences universitaires. Il nous encourageait à poser des questions et à remettre en cause l’ordre social.
Si vous pouviez créer un nouveau cours, que serait-il?
Enseigner aux jeunes femmes à acquérir des compétences pour le monde réel, notamment pour négocier en affaires.
Quelles compétences acquises en enseignement vous ont préparée au journalisme?
Les deux professions exigent un engouement pour l’actualité et une habileté à communiquer l’information de façon exacte.
Qu’est-ce qui vous manque le plus de l’enseignement?
Les élèves, bien que je communique toujours avec plusieurs d’entre eux. J’aimais interagir avec les jeunes, et découvrir ce qui est cool me manque! J’ai appris plus d’eux, qu’eux de moi.
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