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Je vous remercie pour votre article «Du talent à revendre» (déc. 2013). J’aimerais cependant attirer davantage l’attention sur l’immense talent de Debbie Barton-Moore, EAO. Pendant les années 1990, j’ai enseigné à ses côtés à la Northern Secondary School; son influence se faisait sentir en toute occasion. À maintes reprises, elle a démontré l’importance des arts dans l’éducation des élèves à risque, ceux qui manquaient d’assurance et qui n’aimaient pas la monotonie du quotidien ou ceux qui raffolaient de l’art dramatique et qui avaient du talent comme Patrick Adams.
Ses élèves travaillaient fort pour remporter des prix, gagner des compétitions et acquérir plus d’assurance, car elle exigeait l’excellence. Ils découvraient la diversité en incarnant la voix des autres et aspiraient à se produire sur les scènes du Festival de théâtre Sears (Ontario) et du Festival Blythe.
Lorsque j’étais agente de programme de l’Unité des normes d’exercice de la profession et d’éducation À l’Ordre, j’ai recruté Debbie pour élaborer un cours menant à la QA Art dramatique. Je connaissais l’ampleur de ses connaissances, son engagement envers ses élèves et l’immense plaisir qu’elle éprouvait à enseigner.
Je suis très heureuse du fait que Patrick Adams ait souligné le travail de Mme Barton-Moore. Elle a touché la vie de nombreux élèves et personnifie l’excellence en enseignement.
– Patricia F. Goldblatt, EAO, enseignante à la retraite et conseillère en éducation
En tant qu’enseignante d’éducation physique et santé au cycle primaire, j’ai été à la fois enchantée et surprise par l’article «En chiffres : Bougez!» (déc. 2013). On y indique qu’en 1887, les élèves à l’élémentaire participaient à des manoeuvres, de la gymnastique et des exercices de callisthénie hebdomadaires tandis qu’en 2013, le programme d’éducation physique incluait la marche en musique et le saut à la corde. Il est vrai que, depuis quelques années, on met plutôt l’accent sur la littératie et la numératie, mais il est faux de dire que nos jeunes élèves sautillent une centaine de minutes par semaine. Le curriculum de l’Ontario (Éducation physique et santé) favorise un mode de vie actif par des activités coopératives et de l’interaction sociale, rarement comprises dans les manoeuvres. Nous avons grandement amélioré les exercices pour les jeunes enfants : ils sont plus agréables que les manoeuvres et exercices de callisthénie, sans toutefois se limiter à marcher en écoutant de la musique.
– Anne Payette, EAO, enseignante d’éducation physique en immersion française en 1re année à la Chapman Mills Public School, Ottawa-Carleton District School Board
Félicitations!
À Hélène Lussier, EAO, qui enseigne à l’école élémentaire Marie-Curie, à London, et qui a répondu à un de nos messages dans Facebook. Mme Lussier a gagné un exemplaire du livre Jane, le renard et moi, de Fanny Britt et Isabelle Arsenault. Lisez la critique de ce livre, récipiendaire de plusieurs prix, dans notre numéro de décembre 2013.
À Zohra Khan, EAO, enseignante pour les élèves ayant des besoins particuliers à la Markham Gateway Public School au sein du York Region District School Board, qui a gagné une paire de billets pour assister au festival de Stratford 2014 (décembre 2013, Examen final, p. 56) pour avoir répondu à un de nos messages dans Facebook!
À Paul Benedet, EAO, enseignant de 4e-5e année à la Canadian Martyrs Catholic School de Penetanguishene, qui a participé à notre dernier sondage sur les films dont le thème est l’éducation (décembre 2013, Culture pop, p. 9). Il est l’heureux gagnant de l’ensemble-cadeau Cineplex de 150 $!
À Marlene Deschenes, EAO, enseignante à la Notre Dame School d’Owen Sound, qui a dit que Silverwing de Kenneth Oppel était son livre canadien préféré pour les élèves de l’élémentaire. Elle a gagné une boîte d’échantillons Top Grade destinée aux élèves du jardin d’enfants à la 8e année (décembre 2013, Trésors littéraires, p.12). Quant à Catherine Chin Yet, EAO, du Niagara Catholic District School Board, elle a choisi Book of Negroes de Lawrence Hill comme œuvre à faire découvrir aux élèves du secondaire. Elle gagne une boîte d’articles pour les élèves de la 9e à la 12e année
En pleine période de restrictions budgétaires, il fait chaud au cœur de constater qu’il existe un organisme du secteur de l’éducation à l’abri des contraintes économiques. Je félicite l’Ordre d’avoir pu augmenter la cotisation, alors que les pédagogues doivent accepter un gel de salaire et effectuer des journées de travail non rémunérées.
– Jeremy Russell, EAO, chef de la section des études commerciales, Ancaster High School, Hamilton-Wentworth District School Board
Je souhaite réagir à la lettre de Mme Wolosin-Ozersky, EAO (déc. 2013) concernant les photos des pédagogues de l’article «Faites peau neuve» (sept. 2013). J’ai été particulièrement soulagée et RAVIE de les voir vêtus de manière professionnelle. Elle déclare que les «enseignantes ne portent généralement pas ce genre de chaussures au travail». Pas du tout d’accord! Encore faut-il comprendre pourquoi Mme Wolosin-Ozersky croit que porter des chaussures élégantes en classe est «malsain» et donne un mauvais exemple à nos élèves. Il est aussi ridicule de dire qu’une telle tenue est «sexiste»! J’enseigne au secondaire et je porte, tous les jours, une robe ou une jupe avec des talons hauts; je m’assois rarement en classe. Au contraire, en se présentant dans des tenues plus traditionnelles, l’enseignante véhicule une image professionnelle auprès de ses élèves, des parents et de ses pairs. Bon nombre de mes collègues (hommes et femmes) sont d’avis que le code vestimentaire est devenu trop laxiste et ne communique pas l’identité professionnelle des enseignants. La direction de notre école nous a même dit que si nous portions les mêmes vêtements en classe et à la maison, c’est que nous NE sommes PAS habillés professionnellement.
– Maryanne Scime, EAO, Bishop Paul Francis Reding Secondary School, Halton Catholic District School Board