Pour parler profession vous invite à écrire des lettres et des articles sur des domaines d’intérêt pour la profession. Nous nous réservons le droit d’abréger vos textes. Pour être considérée aux fins de publication, une lettre doit comporter le numéro de téléphone de jour de son auteur. Envoyez votre texte à revue@oeeo.ca ou à Rédaction, Pour parler profession, 101, rue Bloor Ouest, Toronto (Ontario) M5S 0A1.
Mon mari et moi-même sommes enseignants et aimons séjourner à l’étranger durant l’été. Nous cherchons à faire du bénévolat ou à enseigner. En fait, nous rêvons de partir enseigner ensemble à l’étranger. J’ai été heureuse de lire l’article «Nouveaux horizons» (juin 2014). Ce fut un plaisir de parcourir les expériences d’autres enseignants et d’en apprendre au sujet de divers organismes et possibilités.
En revanche, j’ai été déçue de constater que certaines ressources n’étaient plus d’actualité ou qu’elles étaient limitées. Il manquait également de ressources pour les enseignants du secondaire. J’aimerais qu’une liste plus complète d’organismes et de possibilités à l’étranger soit publiée à temps la prochaine fois, de façon à pouvoir poser sa candidature dans les délais requis.
—Colleen Lebar, EAO, est enseignante d’anglais et conseillère en orientation à la Chinguacousy Secondary School, à Brampton.
Pour parler profession s’oriente dans une certaine direction, en portant un regard optimiste sur les toutes dernières trouvailles technologiques. Cela me préoccupe, car l’éducation se doit de remettre en question les «vérités», tel un espace propice à l’expression d’opinions divergentes et à une prise de conscience critique. Votre sondage sur les outils pédagogiques (déc. 2014) indique qu’à l’heure actuelle, un grand nombre de pédagogues ne peuvent pas enseigner sans avoir recours à des moyens électroniques, sous une forme ou sous une autre, reléguant le tableau, le dictionnaire général et le dictionnaire analogique à des curiosités dignes d’un musée. En tant que pédagogues, nous posons rarement les questions complexes qui se rapportent à notre environnement ou à sa technologie, ou à notre complicité éthique dans la détérioration de la vie humaine qu’engendre la technologie. Pour que nos propos en vaillent la peine, nous devons nous exprimer de façon authentique et, dans bien des cas, nous élever contre les éloges irréfléchis et inconditionnels de la technologie.
—Joshua Christopher Weresch, EAO, est auteur-compositeur-interprète et enseignant suppléant à l’Hamilton-Wentworth District School Board.
J’habite sur la rive-sud de Montréal et je suis abonné à votre revue Pour parler profession, que j’adore.
Dans un de vos derniers articles, vous parliez de la façon d’utiliser Skype dans la classe. Je me suis laissé tenter, et j’ai essayé l’expérience avec mon groupe. Ma commission scolaire a publié un article dans son site qui relate mon expérience et j’aimerais le partager avec vous : bit.ly/1yyY9Qa.
Merci de m’avoir inspiré!
—Olivier Forest, EAO, enseigne la 5e année à l’école Vinet-Souligny, à Saint-Constant (Québec).