Photos : Vaughn Ridley/Wrestling Canada Lutte; Comité olympique canadien
Michelle Fazzari, EAO, Saint Catharines, lutte
Jeux d’été de 2016
«Quand un nouveau défi se présente, on en apprend tellement sur soi-même; on se concentre et on reste dans le moment présent. Il ne faut pas assouvir son désir de briller… Quand les choses se compliquent, on met les bouchées doubles. On apprend aussi à réagir vite sous l’effet de la pression. Si les élèves ne participent pas pendant la leçon, il faut trouver une autre façon d’enseigner.»
Lesley Thompson-Willie, EAO, London, aviron
Jeux d’été de 1984, 1988, 1992, 1996, 2000, 2008 et 2016
«Les élèves ne sont pas tous pareils. Leurs motivations et intérêts diffèrent. Le défi est de trouver ce qui les motive afin de les mettre sur la bonne voie. Je veux que les élèves découvrent ce qui les passionne vraiment. Si la passion les anime, alors ils garderont la forme et seront en bonne santé, tant sur le plan physique que sur le plan mental.»
Eric Gillis, EAO, Guelph, athlétisme
Jeux d’été de 2008, 2012 et 2016
«Pour moi, devenir enseignant s’est avéré beaucoup plus difficile que devenir athlète. Je me suis dit que si je pouvais enseigner, je pouvais participer aux Jeux olympiques. Quand vous trouvez un créneau, vous déployez tous les efforts qui s’imposent. Quand vous aidez les élèves à trouver ce qui les motive, tout un monde de possibilités s’offre à vous.»