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Échos de la profession

Pour parler profession vous invite à écrire des lettres et des articles sur des domaines d’intérêt pour la profession. Nous nous réservons le droit d’abréger vos textes. Pour être publiée, une lettre doit être signée et comporter le numéro de téléphone de jour de son auteur. Envoyez votre texte à : La Rédaction, Pour parler profession, 121, rue Bloor Est, Toronto ON M4W 3M5; courriel  : revue@oct.ca.

Mentorat, machine à coudre et mensonge

Réduction de la cotisation

J’ai lu avec stupéfaction que l’Ordre avait l’intention de réduire la cotisation annuelle, qui figure déjà parmi les plus basses de toutes les professions au Canada. Comment le conseil justifie-t-il cette décision?

Le gouvernement a mis fin au Programme de perfectionnement professionnel, mais un autre viendra sûrement le remplacer. L’Ordre devra sans doute y jouer un rôle important et le financer.

Tout bon conseil d’administration doit garder des réserves pour les temps difficiles. Il ne devrait pas se laisser influencer par le désir de plaire à ses électeurs. Il faudrait sensibiliser le conseil à l’importance de conserver un solde de fonds approprié.

Solette N. Gelberg, de King City, est membre de l’Ordre. Elle a siégé au conseil pendant cinq ans et a présidé le comité des finances.


Écart entre les sexes

Enseignant au secondaire et ancien officier des forces armées, j’ai lu avec grand intérêt l’article intitulé «Réduire l’écart entre les sexes : comment attirer les hommes dans la profession enseignante».

L’armée fait aussi face à des problèmes de recrutement et de conservation des effectifs. Mais, c’est de recrues féminines dont elle a besoin.

J’ai choisi d’enseigner parce que l’éducation a fait partie intégrante de ma vie et de mon développement. Quoi de plus naturel que de transmettre mon amour de l’apprentissage? Mais je comprends qu’il peut être difficile pour un jeune homme de s’intéresser à l’enseignement s’il ne peut s’identifier à son environnement. Pas surprenant que d’anciens camarades de classe ont préféré une carrière militaire ou policière.

La question cruciale est de savoir «Qu’est-ce qui amène les hommes à choisir leur profession?»

Stephen Yuen enseigne la 7e et la 8e année au conseil scolaire de la région de York.


Le mentorat

J’ai grandement apprécié l’éditorial de Doug Wilson sur les perspectives d’emploi en enseignement pour les nouveaux diplômés. Je suis entièrement d’accord avec lui sur les besoins et l’utilité des mentors.

Des enseignants, dont la directrice de l’école où j’enseigne, m’ont prodigué de précieux conseils qui contribueront à mon succès professionnel.

Si davantage de nouveaux enseignants avaient un mentor, ils seraient moins nombreux à quitter la profession après quelques années.

Stephanie Dancey enseigne le français de base à l’élémentaire au conseil scolaire catholique de Peterborough Victoria Northumberland Clarington.


Accélérateur

J’ai enseigné la 5e et la 6e année pendant deux ans et j’ai trouvé la façon idéale d’encourager mes élèves à faire leurs devoirs en quatrième vitesse.

Dans le cadre du projet Linus, on fabrique des courtepointes pour les enfants hospitalisés et pour les policiers et ambulanciers qui les utilisent dans les cas d’urgence. J’ai pensé que mes élèves aimeraient y participer. Nous avons installé une machine à coudre dans la classe. J’ai montré que la pédale fonctionnait comme l’accélérateur d’une voiture. Cette explication a porté fruit dans mon groupe qui associait arts et mauviettes!

L’idée a tellement bien fonctionné que j’ai dû dresser une liste d’attente réservée aux élèves ayant terminé leurs devoirs. Cinq courtepointes plus tard, j’ai décidé d’initier ma classe d’élèves en difficulté d’apprentissage. Je compte sur la magie de l’accélérateur.

Kathy Schofield enseigne aux enfants en difficulté, de la 4e à la 6e année, au conseil scolaire de Toronto.


Chiffres trompeurs

J’ai vu des offres d’emploi dans Pour parler profession et j’ai peur que vous donniez une fausse idée du nombre de postes disponibles. Bon nombre de mes collègues sont sous-employés.

Très peu de postes permanents sont disponibles et bien des remplaçants à long terme sont sur la liste d’attente. Je ne crois pas que votre article reflète bien la réalité.

Elizabeth Long enseigne les sciences, les mathématiques et le français au conseil scolaire du comté de Simcoe.

Qualifications additionnelles

Dans la section «Questions fréquentes» (décembre 2004), nous vous indiquions différentes façons de mettre vos qualifications à jour. Renseignez-vous auprès du Conseil ontarien d’évaluation des qualifications (COEQ), au 416-323-1969 ou au 1-800-385-1030, www.qeco.on.ca