Difficile d’embaucher du personnel enseignant à New York

Une ordonnance de la cour qui obligeait le conseil scolaire de la ville de New York à s’assurer que soient affectés des enseignantes et enseignants nouvellement certifiés dans ses écoles les moins performantes a eu pour effet que 2 000 de ces nouveaux enseignants ont refusé un poste dans les écoles défavorisées. C’est ce qu’a annoncé le conseil scolaire de la ville. D’ici 2003, les quelque 1 100 écoles de New York devront embaucher du personnel enseignant pour toute les années d’études.



Nouveaux manuels pour les cours d’éducation physique et de santé

Les enseignantes et enseignants ont maintenant de nouveaux manuels pour enseigner le programme d’éducation physique et de santé et évaluer les élèves du jardin d’enfants à la 10e année.

Fruit d’une collaboration entre le ministère de la Santé, des conseils scolaires et l’Ontario Physical and Health Education Association (OPHEA), ce matériel d’apprentissage a été préparé par plus de 80  rédacteurs provenant de 12 conseils scolaires, unités et organismes de santé.

Le matériel destiné aux classes du jardin d’enfants à la 8e année comprend environ 30 leçons pour le volet santé et 100  leçons pour le volet éducation physique par année d’études. Mine d’informations, chaque manuel est accompagné de ressources pour l’évaluation, de feuilles de suivi et de fiches à l’intention des élèves. Le matériel destiné aux 9e et 10e années complète les profils de cours des écoles publiques et catholiques. Il offre des renseignements utiles, des documents à l’intention des élèves et des activités complémentaires pour les cours d’éducation physique et de santé de 9e et 10e année.

Le matériel a été distribué par l’entremise des conseils scolaires participants au début de l’année et l’OPHEA organise des ateliers pour aider le personnel enseignant à utiliser cette nouvelle ressource.

Pour obtenir plus de renseignements sur les manuels et les ateliers, communiquez avec l’OPHEA au 416-426-7083 ou visitez son site web à www.ophea.net (en anglais seulement).



Enseignante d’Ottawa lauréate d’un prix de l’ACELF

Lise Paiement, enseignante d’art dramatique et animatrice culturelle au Collège catholique Samuel-Genest d’Ottawa, est lauréate du Prix national 2001 de la francophonie pour le concours «Profs engagés, élèves comblés!». Elle a reçu son prix le 20 mars lors d’une cérémonie à Ottawa.

Les Prix de la francophonie de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) rendent hommage à des élèves et des intervenants en éducation des établissements d’enseignement de langue française au Canada. Ils reconnaissent l’engagement et la ténacité dans la promotion de la langue et de la culture d’expression française.

En proposant la candidature de Lise Paiement, Sylvio Granger, directeur adjoint de Samuel-Genest, a souligné l’importance de son travail en enseignement et en animation culturelle qui rejaillit sur l’ensemble des élèves et de la communauté. Lui et ses collègues ont aussi fait état du temps qu’elle consacre à la production de deux spectacles annuellement qui mettent en valeur la qualité du français. De nombreux témoignages vantent sa passion pour la culture de langue française. Elle a donné des conférences et des ateliers partout au Canada sur l’importance de s’exprimer en français en milieu minoritaire au Canada.

L’ACELF est un organisme pancanadien qui contribue à l’épanouissement de l’éducation et au rayonnement de la culture d’expression française au Canada. Elle réalise des activités de recherche et favorise la concertation des forces vives de l’éducation en langue française. Consultez son site web à www.acelf.ca.



L’informatique, c’est aussi pour les filles

Plus de 80  informaticiennes ont participé au congrès de la Canadian Information Processing Society (CIPS) intitulé Women in IT : Looking Toward the Future qui a eu lieu à Toronto en mars dernier pour lancer un message aux jeunes filles de deux conseils scolaires.

«D’après mon expérience, affirme Jill Velenosi, directrice adjointe de l’information au Secrétariat du Conseil du Trésor canadien, il n’y a aucun plafond salarial en informatique.» Des études réalisées par Deloitte Consulting ont révélé que les femmes qui restaient dans le domaine recevaient des promotions.

En 1993, 6,5 pour 100 des partenaires étaient des femmes. En l’an 2000, ce pourcentage avait grimpé à 14 pour 100. Loretta Fladhamer, chef de l’évolution du web pour les solutions aux petites entreprises chez Nortel a confirmé que, selon son expérience dans le domaine au cours des 20 dernières années, la discrimination en faveur des hommes est en voie de disparaître.

Lorsqu’elle était jeune, elle avait beaucoup de talent en mathématiques et en sciences. «Mais je n’osais pas en parler à mes amis, parce que ce n’était pas cool d’être douée à l’école. Maintenant que je travaille en informatique, ce sont les personnes douées et qui se débrouillent bien avec la technologie qui sont les plus en demande... De nos jours, tout le monde se sert de la technologie.» Fladhamer n’a pas été témoin de discrimination dans le domaine depuis plus de quatre ans.

Les participantes au congrès ont appris que même si un nombre croissant de femmes joignent le domaine, le pourcentage d’informaticiennes est à la baisse. Les filles se font des idées erronées sur les carrières en informatique et ne comprennent pas l’éventail de choix qui leurs sont offerts, qu’ils s’agisse d’emplois, de responsabilités, d’activités ou des situations de travail.

Ainsi, les femmes sont toujours en minorité dans ce domaine et leur présence continue de s’affaiblir. Il y a trois ans, les femmes formaient plus de 36 pour 100 de la profession. Aujourd’hui, elles ne constituent que 27 pour 100, un pourcentage qui correspond de près à la proportion de jeunes filles inscrites aux cours d’informatique au secondaire.

À l’université, «les femmes représentent de 15 à 20 pour 100 seulement des étudiants en informatique», mentionne Faye West, présidente de la CIPS. Cette statistique inquiétante est l’un des facteurs qui a motivé l’association à organiser cette toute première activité destinée aux jeunes filles du conseil scolaire catholique de Toronto et du conseil de district de Peel. «Comme l’informatique est un domaine où l’on a besoin d’un nombre grandissant de professionnels qualifiés, il importe, pour l’avenir de notre profession, d’attirer un plus grand nombre de femmes», ajoute-t-elle.

Le personnel enseignant et les conseillères et conseillers en orientation ont été invités à découvrir des logiciels et des programmes conçus pour les femmes, ainsi que des activités qui encouragent les filles à entrevoir une carrière en informatique.

Pour obtenir plus de renseignements, visitez le site web de la CIPS à www.cips.ca. (en anglais uniquement).


Il n’y a aucun plafond salarial en informatique. Voilà le message que sont venues livrer des informaticiennes aux filles de deux conseils scolaires de la région de Toronto pour les encourager à embrasser une carrière dans un domaine qui valorise leurs talents en sciences et en mathématiques.



L’OSClub en vedette


Les élèves Andrew Smart, Steven Lambruschini et Nadeesha Jayasinghe, le personnel du Centre des sciences Maureen Kinghorn et Allan Busch, et les élèves Yvette Lam et Vinayak Viswanathan inspectent l’un des nombreux projets de sciences et technologie présentés récemment à l’exposition de l’OSClub au Centre des sciences.



Nita Singh, enseignante à la D.A. Morrison Jr. High School, souhaite la bienvenue aux participants de l’OSClub, projet conjoint entre le Centre des sciences de l’Ontario, le Conseil scolaire de district de Toronto et la fondation Lucent Technologies et organisé pour mettre en valeur le travail des élèves de sciences de l’Ontario.



Vijeetha Raviraj et un enseignant de l’école Weston Collegiate Institute comptaient parmi les 63 élèves et 11 enseignantes et enseignants qui ont participé à des projets pratiques en sciences, mathématiques et technologie de l’OSClub au cours de l’automne et de l’hiver et ce, en compagnie de leurs mentors, soit Lucent Technologies, Énergie atomique du Canada, Glaxo-Wellcome, M.D.Robotics, le Lunenfeld Research Institute et le Centre des sciences de l’Ontario. Pour obtenir plus d’information sur l’OSClub de l’an prochain, visitez www.geocities.com/edm.rm/osclub.html.

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