Fusion de critiques et de recherches, cette chronique recense des livres, des cédéroms et d'autres ressources utiles. Vous pouvez emprunter tous les livres dont nous faisons la critique à la bibliothèque Margaret-Wilson, à l'exception de certaines trousses de classe. Envoyez un courriel à biblio@oct.ca.

 

Lu, vu, entendu : recherche

Apprendre, enseigner et vivre en Ontario français : réalité et contradictions

de Gabrielle Barkany

Quelles difficultés les parents rencontrent-ils au sein des écoles francophones en Ontario lorsqu'ils souhaitent s'impliquer dans la vie scolaire de leurs enfants? Les programmes de perfectionnement professionnel sont-ils adaptés aux enseignants francophones? Comment vivent les élèves francophones de l'Ontario et les minorités parmi cette minorité? Autant de questions auxquelles des chercheurs du Centre de recherches en éducation franco-ontarienne (CRÉFO) ont tenté de répondre dans un récent ouvrage intitulé L'Éducation de langue française en Ontario : enjeux et processus sociaux.

S'appuyant sur différentes recherches menées depuis 1996, les auteurs se sont demandés ce que signifie apprendre, enseigner et vivre dans un milieu scolaire francophone en Ontario. Quatre thèmes se dégagent des neuf études de l'ouvrage : l'exercice du pouvoir dans le système d'éducation, le traitement de la différence, la formation à l'enseignement (y compris la formation initiale et le perfectionnement professionnel) et l'expérience des élèves. Les études abordent aussi certaines contradictions et conflits entre le gouvernement, les conseils scolaires, les écoles, le public, les parents, les spécialistes de l'éducation et les jeunes.

Le chapitre de Nathalie Bélanger «Des steamer classes à l'enfance en difficulté : création de la différence» examine l'un des plus grands défis que doivent relever les conseils scolaires et les écoles de langue française : appuyer les enseignants des élèves en difficulté sans stigmatiser les élèves.

Alors qu'elle étudiait l'ethnographie dans des écoles élémentaires et secondaires de langue française, Bélanger s'est rendu compte que la façon de traiter la différence des élèves est loin de faire l'unanimité. Elle note également que des conflits de pouvoir surgissent entre les enseignants et les parents quand vient le moment de reconnaître les enfants en difficulté. Elle cite le cas où une mère s'est offusquée de l'attention particulière qui était accordée à son enfant. Non seulement, dit-elle, il était traité comme un étranger, mais les attentes moins élevées que l'on avait à son égard entraînaient des problèmes sociaux. Ainsi, loin d'aider l'élève, l'aide individuelle prodiguée en dehors de la classe lui faisait accuser du retard.

Le chapitre intitulé «La formation à l'enseignement : traiter la différence ou valoriser les similitudes?» présente les résultats d'une étude menée sur neuf cours dans deux facultés d'éducation. L'objectif était de vérifier si les cours de formation initiale à l'enseignement et les stages répondaient aux défis de l'intégration scolaire comme le définit le ministère de l'Éducation.

Un de ces cours, par exemple, vise à «distinguer les différences individuelles afin d'élaborer des scénarios et d'assurer une gestion de classe facilitant l'apprentissage». Malgré cet exemple, les auteures constatent que la plupart des cours s'attachent plus à apprendre aux futurs enseignants comment reconnaître les difficultés d'un élève qu'à leur enseigner des moyens de l'inclure. Denise Wilson et Nathalie Bélanger prédisent que les futurs enseignants en viendront davantage à connaître les procédures bureaucratiques et juridiques (selon les différences culturelles ou les anomalies définies par le Ministère) qu'à développer un sens critique par rapport aux méthodes actuelles.

Dans «Une expérience de perfectionnement professionnel du personnel enseignant», Diane Gérin-Lajoie constate que les enseignants doivent s'accommoder du peu de matériel en français et de personnel francophone. Souvent isolés, les enseignants se retrouvent seuls dans l'école à enseigner leur matière en français et n'ont personne avec qui partager expériences et ressources. L'auteure fait état des besoins de formation des enseignants des écoles de langue française et conclut que les politiques et les programmes scolaires sont généralement conçus sans tenir compte des enseignants.

L'article de Normand Labrie, Denise Wilson et Monica Heller sur «La gestion scolaire et la création de conseils de district» fait remarquer que même si les communautés francophones gèrent maintenant leurs écoles, elles subissent du même coup un plus grand contrôle de la part du gouvernement provincial, ce qui laisse peu de latitude aux élus francophones.

Dans «Les conseils d'école : vers plus de démocratie?», Sylvie Roy se joint à Labrie, Wilson et Heller pour critiquer l'établissement des conseils d'école et de district. Ils montrent que la restructuration du système scolaire, au lieu de conférer plus de pouvoir aux parents, a plutôt semé la confusion sur le rôle des conseils d'école et celui des anciennes associations de parents-enseignants.

Dans le chapitre «Wo minute, c'est pas ton école... c'est notre école : tensions autour de la participation des parents», les témoignages de parents, d'enseignants et d'administrateurs scolaires illustrent le fait que la participation des parents nécessite des compétences qui entrent parfois en contradiction avec celles du personnel scolaire. Un père fait d'ailleurs remarquer que la participation des parents aux conseils n'est pas rémunérée bien qu'elle demande une certaine dose d'expertise.

Les derniers articles portent sur la réalité des jeunes et la question de l'identité. L'un démontre notamment qu'identité bilingue ne rime pas forcément avec assimilation. Un autre se penche sur l'orientation sexuelle et révèle que filles et garçons vivent différemment la discrimination au sein de la communauté francophone.

Bien que l'ouvrage se soit cantonné à l'Ontario francophone, il révèle toutefois des phénomènes sociaux et des enjeux qui existent ailleurs, que ce soit parmi d'autres communautés francophones au Canada ou dans d'autres minorités linguistiques à travers le monde.

L'Éducation de langue française en Ontario : enjeux et processus sociaux, Sudbury, Éditions Prise de parole, 2003, 247 pages; ISBN : 2-89423-154-7; 25 $.


Lu, vu, entendu : ressources

Geometry Park - CD
réalisation de Joe Crone et d'Illumisware
Critique d'Andrea Murik

Avez-vous besoin de motiver vos élèves pour qu'ils apprennent la grammaire, la géographie canadienne et les fractions? Avec Geometry Park, vous pourrez répondre aux attentes du curriculum de l'Ontario tout en divertissant vos élèves avec une série de mélodies rythmées.

Contrairement à ce que le titre laisse entendre, on n'aborde pas seulement des concepts de mathématiques dans ce CD. Geometry Park intègre les programmes de sciences, de géographie et de français de la 4e à la 8e année.

Résolument moderne et amusant à écouter, Geometry Park propose des chansons faciles à retenir. Chansonnier, Joe Crone a enseigné la musique et l'art dramatique du jardin d'enfants à la 8e année et pense que les enfants apprennent mieux par le biais de la musique. Il a créé des rimes simples et des mélodies répétitives qui restent facilement gravées dans les esprits, ce qui aide les élèves à mémoriser différents concepts, faits et règles se rapportant à la grammaire, aux fractions ou à l'arrondissement. Ayant enseigné à la 5e année, j'ai particulièrement apprécié les chansons sur la digestion et la circulation.

Le CD est également accompagné de versions karaoké pour que les élèves puissent interpréter les chansons eux-mêmes. Les feuilles comportant les paroles et les accords, que l'on peut se procurer sur le site web d'Illumisware, pourraient facilement être intégrées dans le programme de musique ou les concerts d'école. Ce CD, indispensable pour les enseignants de la 4e à la 8e année, est surtout recommandé à ceux qui ne sont pas spécialement versés en musique.

Geometry Park; London (Ontario); Illumisware; 2003; CD, 24,95 $; téléc. : 519-455-1352; www.illumisware.com; ou joecrone@hotmail.com.

Andrea Murik est enseignante-ressource en éducation de l'enfance en difficulté au conseil scolaire de district du comté de Simcoe.


Even Hockey Players Read : Boys, Literacy and Learning
de David Booth
Critique de Brenda Dillon

Dans son dernier ouvrage, David Booth, conférencier, auteur de renom et professeur à l'IEPO, prétend que le sexe de l'élève joue un rôle complexe en lecture et qu'il faut le reconnaître si l'on veut que les garçons apprennent à bien lire.

Dans Even Hockey Players Read, l'auteur traite de l'alphabétisation, explore les attentes sociales en fonction du sexe des lecteurs et suggère des stratégies pour répondre aux préoccupations et problèmes liés à l'alphabétisation. Selon Booth, l'apprentissage en classe profite davantage aux filles qu'aux garçons, ce qui l'amène à préconiser des modifications pour appuyer l'apprentissage de la lecture et de l'écriture chez les garçons. Il signale que dans les programmes de langue, on a tendance à mettre l'accent sur la fiction narrative alors que les garçons semblent préférer les livres non romanesques.

Des extraits d'entrevues avec des garçons, des hommes et des auteurs de livres pour enfants, de même que de leurs écrits, illustrent les divers points de l'auteur et font réfléchir sur la manière dont les enseignants et les parents peuvent appuyer l'épanouissement des garçons en tant que lecteurs. Une liste d'ouvrages recommandés est fournie, de même qu'une liste de lectures professionnelles.

Ce livre donne un tour d'horizon des questions et problèmes complexes pour lesquels il n'existe pas de réponse toute faite. Il faut noter que Booth semble parfois tourner en rond sans réussir à cerner son sujet. Bien qu'Even Hockey Players Read vaille la peine d'être lu, les lecteurs seraient sans doute moins frustrés si le livre avait fait l'objet d'une révision plus soignée.

Even Hockey Players Read : Boys, Literacy and Learning; Markham (Ontario), Pembroke Publishers; 2002; ISBN 1-55138-147-8; 135 pages; 18,95 $; 905-477-0650, sans frais : 1-800-997-9807; téléc. : 905-477-3691, sans frais : 1-800-339-5568; courriel : mary@pembrokepublishers.com; www.pembrokepublishers.com.

Brenda Dillon est enseignante-bibliothécaire à l'école secondaire catholique Philip Pocock du conseil scolaire du district catholique de Dufferin-Peel.


Teaching from the Inside Out
de Larry Beauchamp et Jim Parsons
Critique de Caroline Cremer

Cet ouvrage s'adresse à tous les enseignants débutants et à tous ceux qui envisagent de le devenir. Les auteurs ont manifestement l'intention d'aider les novices à comprendre ce qui les attend vraiment. Plusieurs scénarios sont présentés et on offre des suggestions sur la manière de faire appel à son jugement professionnel pour résoudre les problèmes.

Divisé en trois sections, le livre commence par des questions directes sur les raisons qui poussent à choisir la profession. Dans la deuxième section, on dévoile certaines «ficelles du métier». On traite aussi de sujets comme la planification des leçons, la discipline, la création de classes inclusives, la préparation de questions stimulantes, l'efficacité de l'enseignement ainsi que l'administration des tests et l'évaluation des élèves.

La dernière section aborde les réalités de l'enseignement : ce qui se passe vraiment, les défis et les récompenses. Bien que rien ne puisse préparer complètement à la première année d'enseignement, ce livre comporte quelques réflexions que des enseignants débutants pourront mettre à profit.

Beauchamp et Parsons présentent une vue réaliste de la profession enseignante afin d'encourager ceux qui ont la vocation et de dissuader les personnes qui se lancent dans l'enseignement pour les mauvaises raisons. Teaching from the Inside Out célèbre l'enseignement tout en témoignant de la volonté de Beauchamp et Parsons de faire renaître la fierté d'enseigner.

Teaching from the Inside Out; Éditions Duval; 2000; Edmonton, 216 pages; ISBN 1-55220-106-6; 24,95 $; 780-488-1390; téléc. : 780-482-7213; sans frais : 1-800-267-6187; courriel : duvalhouse@duvalhouse.com.


Teaching from the Outside In
de Larry Beauchamp, Gerald McConaghy, Jim Parsons, Kathy Sanford et Dawn Ford
Critique de Caroline Cremer

Faisant pendant à Teaching from the Inside Out, cet ouvrage-ci aborde également les responsabilités que doivent assumer les enseignants. Mais dans Teaching from the Outside In, les auteurs adoptent une démarche plus pratique et suggèrent des activités permettant de découvrir la méthode d'enseignement qui vous convient le mieux.

Dans chaque chapitre, les auteurs posent des questions stimulantes sur l'enseignement afin de vous aider à comprendre le pourquoi de vos réussites et de vos échecs.

Le livre s'appuie sur les suggestions et expériences d'enseignants et les conseils apprennent des erreurs commises par les auteurs. Les aspects théoriques ne sont pas volontairement négligés, mais ils ne sont pas la matière de l'ouvrage. Teaching from the Outside In aidera tout enseignant potentiel ou débutant et devrait figurer sur la liste de lectures de tous les programmes de formation à l'enseignement.

Teaching from the Inside Out; Edmonton, Éditions Duval; 2000; 120 pages; ISBN 1-55220-200-3; 24,95 $; 780-488-1390; téléc. : 780-482-7213; sans frais : 1-800-267-6187; courriel : duvalhouse@duvalhouse.com.

Caroline Cremer enseigne à des élèves de 1re et 2e année à l'école publique Leslieville de Toronto.


The Gift of Reading
de David Bouchard, avec la collaboration de Wendy Sutton
Critique de Susan Elliott

À peu près en même temps que je recevais un exemplaire du livre de David Bouchard, j'ai eu l'occasion de l'entendre lors d'une conférence sur l'alphabétisation. Le message de la conférence trouve un écho passionné dans l'ouvrage The Gift of Reading : «L'alphabétisation ne vise pas seulement quelques privilégiés. CHAQUE enfant y a droit. Apprendre à lire aux enfants n'est pas la responsabilité de quelques-uns. C'est la responsabilité de chaque enseignant, de chaque administrateur et de chaque parent.»


The Gift of Reading présente une approche très pragmatique à l'enseignement efficace de la lecture. Il traite tout particulièrement des sujets suivants : la famille, les livres et la lecture; les enseignants, les élèves et l'alphabétisation; les administrateurs, les districts et les écoles. De plus, on y trouve des suggestions de lectures à haute voix et une bibliographie.

Le discours de l'auteur est différent en ce qu'il insiste sur l'importance du modèle dans le processus d'enseignement et d'apprentissage. Il avance des arguments convaincants pour prouver que tous les adultes en contact avec des enfants doivent être perçus comme des lecteurs si l'on veut encourager les élèves à devenir des apprenants permanents qui adorent lire.

Bouchard ne craint pas d'aborder plusieurs questions controversées. Son exposé sur l'impact du nombre croissant de tests normalisés est particulièrement intéressant. En outre, les questions dont tout le livre est émaillé nous mettent au défi de passer aux actes sur les plans personnel et professionnel.

En réfléchissant à The Gift of Reading, j'ai commencé à me demander pourquoi, malgré tout ce que nous savons sur la lecture, il s'avère nécessaire de ramener notre attention sur des idées aussi évidentes. Cet ouvrage devrait figurer sur la liste de livres à lire de tous les parents, enseignants, stagiaires et administrateurs. Stimulant et divertissant, The Gift of Reading nous invite à nous pencher de nouveau sur un commentaire désabusé de Mark Twain : «Ceux qui savent lire et ne le font pas n'ont aucun avantage sur ceux qui ne savent pas lire».

The Gift of Reading; Victoria; Orca Book Publishers; 2001; ISBN 1-55143-214-5; 158 pages; 19,95 $; sans frais : 1-800-210-5277; courriel : orca@pinc.com.

Ancienne directrice d'école en Ontario, Susan Elliott-Johns vit aujourd'hui à l'Île-du-Prince-Édouard où elle est formatrice et conseillère en alphabétisation.


Designs for Learning : A New Architecture for Professional Development in Schools
de Paul V. Bredeson
Critique de Ruth Dempsey

Dans cet ouvrage publié en 2003, Paul Bredeson définit le perfectionnement professionnel comme des «occasions d'apprentissage qui tirent parti des capacités de créativité et de réflexion des éducateurs afin d'enrichir leur enseignement». On ne peut qu'applaudir!

Se servant de la métaphore de l'architecture, l'auteur applique les principes de fonction, de structure et d'esthétique aux politiques et méthodes de perfectionnement professionnel et offre une perspective intéressante fondée sur six thèmes :

  • l'apprentissage est au centre du perfectionnement professionnel
  • le travail est au centre du perfectionnement professionnel
  • le perfectionnement professionnel est un parcours, et non un certificat
  • les possibilités de perfectionnement professionnel sont illimitées
  • l'apprentissage des élèves, le perfectionnement professionnel et la mission organisationnelle sont étroitement liés
  • les gens sont au centre du perfectionnement professionnel, et non les programmes.

Sur le ton de la conversation, l'auteur examine ces thèmes dans dix chapitres informatifs.

S'inspirant de l'ouvrage de Parker Palmer, The Courage to Teach, Bredeson fait le tracé du perfectionnement professionnel tout en réconciliant les aspects intellectuel, émotionnel et spirituel. «Si l'on réduit l'enseignement à un exercice intellectuel, il devient une abstraction. Réduit à une somme d'émotions, il devient une entreprise narcissique. Enfin, réduit à une quête spirituelle, il n'est plus ancré dans la réalité. Pour constituer un tout, l'enseignement doit réunir les aspects intellectuel, émotionnel et spirituel.»

Dans ce livre à la fois évocateur sur le plan intellectuel et enraciné dans la pratique, les enseignants sont perçus comme des personnes et des apprenants permanents jouant un rôle vital au sein du monde et de leur profession.

Designs for Learning : A New Architecture for Professional Development in Schools; Thousand Oaks (Californie), Corwin Press; 2003; 176 pages; ISBN 0-7619-78895; 29,95 $US; 1-800-818-7243, téléc. : 18004172466; www.corwinpress.com.

Ruth Dempsey est membre de l'Ordre et instructrice à la faculté d'éducation de l'Université d'Ottawa.


Recorder Express : Soprano Recorder method for classroom or individual use
d'Artie Almeida
Recorder Express : CD de 99 pistes
Critique de Mary Hookey

Cet ouvrage propose une approche traditionnelle à l'enseignement de la flûte à bec. Les élèves commencent par apprendre le doigté de la main gauche de si, la, sol, do et ré en lisant les notes sur la portée. Les 19 premières pages comportent de nombreux exercices et chansons qui devraient aider les élèves à se familiariser avec ces cinq premières notes.

Les chansons et exercices des autres 48 pages couvrent une octave et demie de la gamme de do, ainsi que le fa dièse. Les sections théoriques sont claires et brèves, et le livre comporte un tableau de doigté de même que de nombreuses chansons folkloriques bien connues.

Le CD Recorder Express, vendu séparément, comprend des accompagnements dans divers styles musicaux qui devraient motiver les élèves et présenter des défis puisqu'on leur demande de jouer en suivant un certain tempo. Un joueur de flûte à bec professionnel sert de modèle aux élèves sur 14 des pistes et donne ainsi des exemples de respiration, de production du son et de technique propres à étayer la démonstration de l'enseignant.

Recorder Express; Miami; 2003; Warner Bros. Publications; ISBN 54979-05094; 4,50 $US (livre), 12,95 $US (CD); 305-620-1500; téléc. : 305-621-4869.

Mary Hookey a été enseignante de musique et formatrice. Elle est maintenant à la retraite.

Accueil | Bloc générique | Archives

Mot de la présidente  |   Mot du registrateur  |   Des professeurs remarquables  |   Pages bleues
Échos de la profession  |   Lu, vu, entendu  |   Calendrier  |   Cyberespace  |   Questions fréquentes  |   Courrier des lecteurs

Ordre des enseignantes et des enseignants de l'Ontario
121, rue Bloor Est,
Toronto ON  M4W 3M5
Téléphone : 416-961-8800 Télécopieur : 416-961-8822  Sans frais en Ontario : 1-888-534-2222
www.oct.ca
revue@oct.ca