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Ironie de
la photo
Ironique, tout de même. Le numéro de septembre de Pour parler profession avait en couverture une photo d’une enseignante et de trois élèves faisant une expérience en plein air. L’éducation en plein air est la composante expérimentale des sciences de l’environnement et est essentielle pour lier les élèves à leur environnement et pour favoriser les comportements d’attention, de responsabilité et de gestion en matière d’environnement. Il faut s’inquiéter que le nouveau curriculum avec sa formule de financement du gouvernement Harris obligent indirectement les conseils scolaires à éliminer le personnel, les centres et les programmes d’éducation en plein air. Ce programme n’est pas obligatoire comme le sont les mathématiques et le français. Les notions de base en environnement sont tout aussi importantes que d’autres. Il ne reste qu’à espérer que le prochain gouvernement permettra au personnel enseignant et aux élèves d’expérimenter ce qui, d’après la photo, semble être une découverte agréable et significative. David
Arthur Coût de l’autoréglementation J’ai trouvé intéressant que vous ayez tenté d’aborder les inquiétudes entourant la hausse de la cotisation à l’Ordre qui entrera en vigueur dès janvier 2002 en publiant dans le numéro de septembre 2001 de Pour parler profession la liste des cotisations annuelles exigées par les autres ordres professionnels de la province en affirmant que la cotisation exigée par l’Ordre était la moins élevée de tous les ordres professionnels de l’Ontario. Dans un prochain numéro, vous pourriez peut-être publier la liste des ordres professionnels de la province qui exigent que leurs membres suivent un nombre minimal de cours aux cinq ans afin de conserver le droit d’exercer leur profession, laquelle nécessite au moins trois années d’études universitaires et une année de formation spécialisée. Aussi, pourriez-vous indiquer par un astérisque quelles professions exigent de leurs membres qu’ils suivent ces cours à leurs frais? Michael
Ford Bonne idée. Nous
y verrons. — (Réd.) Horizons élargis L’article de Lois Browne «Élèves de la double cohorte, élargissez vos horizons» (septembre 2001) adopte un ton des plus encourageants pour les élèves en leur proposant d’étudier toutes les options qui s’offrent à eux et à devenir responsables de leurs choix en faisant leur recherche. Je souligne la recommandation de Phil Hedges concernant les programmes collégiaux, d’apprentis et le travail comme options. Comme le sait sans doute Pat Comley (citée dans l’article), il est vrai que de nombreux diplômés des collèges d’arts appliqués et de technologie décident d’élargir leurs horizons en suivant un autre programme à l’université, ce que nous appuyons et encourageons en offrant une variété de crédits transférables dans les universités dans le cadre de notre programme d’arts et de sciences. Toutefois, il est aussi vrai que le plus important établissement scolaire d’accès à notre collège est l’université locale qui compte un nombre considérable d’étudiants qui choisissent de suivre un programme collégial après avoir terminé leur programme universitaire. Ruth Rodgers Merci Linwood Merci Linwood Barclay! Si seulement cet article pouvait être lu par chaque politicien et chaque parent en Ontario. Bon nombre passerait sans doute à côté de son message, mais avec un peu de chance, il en ferait réfléchir quelques-uns avant de critiquer et de se plaindre. Martha Tait |
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