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projet de loi 52 

Le public veut des enseignants qualifiés

«Favoriser les possibilités d'apprentissage équivalent pour garder les élèves en classe ne devrait pas nous empêcher de disposer d'enseignantes et d'enseignants qualifiés et certifiés», a déclaré l'ancienne présidente du conseil de l'Ordre, Marilyn Laframboise, à un comité permanent gouvernemental en octobre dernier.

«Le public s'attend à ce que les personnes qui enseignent aux enfants de l'Ontario rendent des comptes à leur organisme de réglementation professionnelle, a-t-elle dit en réponse au projet de loi 52 sur l'apprentissage jusqu'à 18 ans. Toute mesure qui n'est pas à la hauteur de cette attente n'est pas dans l'intérêt du public.»

Ce projet de loi, qui vient modifier la Loi sur l'éducation et le Code de la route, a pour but de faire passer l'âge de la scolarité obligatoire de 16 ans à 18 ans ou au moment de l'obtention du diplôme d'études secondaires, en favorisant l'apprentissage continu des élèves, soit en classe, soit au sein des programmes extrascolaires approuvés, dont l'apprentissage ou l'éducation coopérative. Il propose que certaines possibilités d'apprentissage équivalent soient offertes ailleurs que dans les conseils scolaires.

«L'Ordre est d'accord avec l'idée d'aider davantage d'élèves à connaître la réussite, a souligné Mme Laframboise. Toutefois les parents et les élèves ont le droit de s'attendre à ce que les personnes autorisées à enseigner possèdent les connaissances, la formation et les qualifications pour le faire.»

Selon l'ébauche du projet de loi, les élèves du secondaire pourraient obtenir des crédits pour des cours provenant «d'un programme, d'un programme d'études ou d'une autre activité» offert par un établissement qui n'est pas régi par la Loi sur l'éducation, ou par un groupe communautaire, en vertu d'un programme d'apprentissage ou d'une formation en cours d'emploi.

«Nous croyons que les possibilités d'apprentissage équivalent doivent être supervisées par des membres de l'Ordre qui possèdent les connaissances nécessaires et respectent les mesures disciplinaires en vigueur», a soutenu Mme Laframboise.

Le document intégral est disponible dans notre site.

(Photo)

Marilyn Laframboise, présidente du 3e conseil, et Brian McGowan, registrateur, s'adressaient au comité permanent en octobre dernier.