Cette section présente les nouveautés à l’Ordre ainsi qu’une variété d’annonces, d’activités et de projets d’intérêt pour les membres de la profession.

consultation

L’Ordre rencontre des membres atteints de surdité ou de surdité partielle

Deaf and hard of hearing membersDes membres de la profession atteints de surdité ou de surdité partielle ont visité l’Ordre en décembre. À leur demande, l’Ordre les a renseignés sur le processus de plainte et sur les politiques en place pour desservir leur communauté.

Richard Lewko, directeur de la Division des services généraux et du soutien au conseil, a passé en revue les services offerts à tous les membres. Il a souligné que les personnes atteintes de surdité ou de surdité partielle peuvent se prévaloir du système ATS de l’Ordre en téléphonant au 416-961-6331 ou par l’entremise de Bell. Une personne formée à cet effet lit le message que l’utilisateur a rédigé par téléscripteur et répond par le même moyen.

Selon les données récentes, les membres atteints de surdité ou de surdité partielle préfèrent communiquer avec nous par courrier électronique.

Les participants voulaient surtout savoir s’ils peuvent déposer une plainte dans le cas où leur employeur limite leur utilisation de la langue des signes avec leurs élèves. Joe Jamieson, directeur de la Division des enquêtes et des audiences, a expliqué le processus et le traitement des plaintes à l’Ordre. Il a souligné que, dans un tel cas, le processus de plainte serait pertinent si l’on ne respecte pas le plan d’enseignement individualisé créé pour un élève atteint de surdité ou de surdité partielle.

image

Des membres de l’Ordre atteints de surdité ou de surdité partielle ont participé à la rencontre en décembre.

Bourse Atkinson
image

Joe Atkinson (à gauche), ancien registrateur, Don Cattani, président de l’Ordre, et Lise Roy-Kolbusz, registrateure adjointe, félicitent Valerie Hathaway-Warner (au centre) pour avoir remporté, en 2008, la sixième bourse d’excellence en formation à l’enseignement Joseph W. Atkinson.

Parle PAL, jase, jase

Un dialogue-rencontre qui pourrait changer votre vie pédagogique

L’équipe de Pédagogie culturelle organise un dialogue-rencontre qui se tiendra du 21 au 23 avril prochains au Centre des conférences Centurion, à Ottawa.

Grâce au soutien de divers intervenants en éducation, cette équipe de pédagogues ontariens s’est engagée à fournir un modèle de travail permettant la construction identitaire dans un contexte minoritaire.

Le projet a été élaboré à la demande des pédagogues qui ont exprimé leur volonté d’accompagner leurs élèves dans leur développement et qui ont dit avoir besoin de méthodes et d’idées pour incorporer leurs objectifs dans le curriculum.

Cet événement est le point culminant de cinq années d’initiatives pédagogiques de pointe et offrira des outils pour appuyer toutes les personnes qui travaillent à la politique d’aménagement linguistique (PAL).

Des membres de l’équipe de Pédagogie culturelle, qui se trouvent aux quatre coins de la province, travaillent assidûment pour fournir des outils et des présentations de qualité.

Durant les journées, vous pourrez dialoguer, réseauter, et recueillir de nouvelles idées pour enrichir l’apprentissage et la construction identitaire de vos élèves.

La Fédération de la jeunesse franco-ontarienne, l’Association des enseignantes et des enseignants franco-ontariens et le Centre canadien de leadership en évaluation sont les partenaires de Pédagogie culturelle, un projet qui bénéficie également de financement dans le cadre de l’Entente Canada-Ontario entre le ministère du Patrimoine canadien et le gouvernement de l’Ontario.

Pour en savoir plus et vous inscrire, visitez www.pedagogieculturelle.ca ou téléphonez au 1-866-860-9555 sans frais.

ScÈne internationale

Enrayer la pauvreté chez les enfants

MandelaPartout dans le monde, Nelson Mandela est reconnu comme la force vitale de la lutte pour le respect des droits humains et de l’égalité raciale. Il s’est battu pour libérer l’Afrique du Sud de l’apartheid et a été le premier président du pays après l’abolition du régime ségrégationniste. Aujourd’hui, l’homme se bat pour enrayer la pauvreté chez les enfants dans son pays.

La semaine consacrée à l’esprit de Mandela (du 27 avril au 1er mai), organisée par la Fondation Nelson-Mandela pour les enfants (Canada), est une initiative à l’intention des écoles dans le cadre de laquelle on invite les élèves à en apprendre plus sur la vie de ce grand homme, sur la riche culture et l’histoire de son pays, ainsi que sur les défis que les enfants sud-africains doivent surmonter aujourd’hui. Le programme scolaire permet d’apprendre en participant et ainsi de comprendre concrètement ce que signifie être citoyen du monde.

Un concours s’adressant aux élèves du jardin d’enfants à la 12e année est organisé afin de trouver l’affiche qui illustrera la semaine. Le gagnant sera annoncé en avril, au lancement de la semaine. On distribuera des copies de l’affiche gagnante dans des milliers d’écoles, partout au Canada. De plus, on enverra l’affiche au siège social de la fondation en Afrique du Sud et elle sera publiée dans le site web dédié à la semaine.

Maintes écoles organiseront des activités afin de sensibiliser à la cause et de ramasser des fonds. Le site web offre des ressources et des guides pédagogiques complets.

Pour en savoir plus, consultez www.spiritofmandela.ca (anglais) et www.mandela-children.ca (anglais). Pour commander de la marchandise, écrivez à info@spriritofmandela.ca.

Visiteurs

Des dÉlÉgations venues du monde entier visitent l’Ordre régulièrement pour en apprendre davantage sur des sujets liés à l’éducation, dont l’agrément, les qualifications requises pour enseigner et les normes d’exercice.

image

AUSTRALIE En novembre, Lise Roy-Kolbusz, registrateure adjointe de l’Ordre, Andrew Ius, PDG du Victorian Institute of Teaching, Brian McGowan, registrateur, et Michelle Longlade, directrice des Normes d’exercice et de l’agrément, ont discuté de l’agrément et de la formation à l’enseignement.


image

AFGHANISTAN En novembre dernier, des membres du personnel de l’Ordre et Don Cattani, président du conseil (derrière, à gauche), ont rencontré des représentants du ministère de l’Éducation de l’Afghanistan.


image

CHINE Une délégation de la Chine est venue nous voir en décembre pour en savoir plus sur l’histoire de l’Ordre, ses objets en vertu de la loi et son processus d’enquête et d’audience.


initiative en partenariat

Meilleur accès aux études postsecondaires

On Y VaUn programme en plein essor vise à aider les jeunes marginalisés à poursuivre des études postsecondaires, en offrant une vaste gamme de services, dont des visites pédagogiques.

Lancée en avril dernier, On Y Va est une initiative conjointe du YMCA, de la Fondation canadienne des bourses d’études du millénaire, de partenaires et sympathisants du secteur privé, d’organismes communautaires et d’établissements postsecondaires. À l’heure actuelle, cette initiative offre de l’aide individuelle, des ateliers et des sorties éducatives dans des établissements postsecondaires de trois secteurs du Grand Toronto.

«La plupart de ces jeunes n’ont jamais visité le campus d’une université ou d’un collège, explique Adela Colhon, directrice des programmes nationaux du Partenariat canadien pour l’accès aux études postsecondaires pour les YMCA du Grand Toronto. Nous allons aussi dans les écoles secondaires pour y offrir des ateliers. Nous pouvons personnaliser la séance pour satisfaire aux demandes d’une école, par exemple en abordant le financement de l’éducation post-secondaire.»

On Y Va est conçu pour les élèves du secondaire nouvellement arrivés au Canada, ou qui font partie de familles autochtones ou à faible revenu. La plupart des membres de ces familles n’ont pas reçu d’éducation postsecondaire. Bien que l’on mette l’accent sur l’élimination des barrières sociales qui nuisent à l’inscription à une université ou à un collège, on aborde également d’autres options, telles que les écoles et programmes professionnels.

Le problème est réel. Selon la Fondation des bourses d’études du millénaire, le taux de décrochage dans certains quartiers défavorisés de Toronto atteint plus de 50 pour cent.

Un des aspects qui éloignent certains élèves de l’éducation postsecondaire est le mythe des frais d’inscription élevés. En effet, une enquête de la Fondation des bourses d’études du millénaire révèle que 60 pour cent des élèves du secondaire croient que les droits de scolarité à l’université sont le double de ce qu’ils sont en réalité.

Au cours des six premiers mois d’existence du programme, près de 600 jeunes ont assisté aux nombreux ateliers de deux heures offerts dans trois YMCA du Grand Toronto : 42, rue Charles Est, Toronto (416-928-6690); 16 655, rue Yonge, bureau 3, Newmarket (905-773-7141); et 183, avenue Simcoe, bureau 4, Keswick (905-989-9622).

Près de 500 élèves, les plus jeunes âgés de 13 ans, ont participé à des séances d’aide individuelle. «Grâce à de tels nombres, nous sommes sûrs de faire une différence», affirme Mme Colhon.

On Y Va est un programme national offrant des services dans neuf villes, de Québec à Vancouver. Quatre nouveaux sites, dont un à Sudbury, sont prévus pour 2009.

Consultez www.onyva.ca ou www.youcango.ca, communiquez avec adela.colhon@ymcagta.org ou téléphonez au 416-928-3362, poste 4140.

Le sort des enfants pauvres s’améliore

Une enseignante fonde une école

vous cherchez à vivre une expérience enrichissante et inoubliable? Allez à Madagascar.

«Je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie», déclare Kathy Lucking, enseignante à l’élémentaire qui est revenue en janvier d’un séjour de six mois dans l’île africaine, au large de la côte est du continent. «C’est un endroit où l’on peut vraiment apporter des changements positifs.»

sekoly
L'école Sekoly Lovasoa à  Madagascar, fondée par Kathy Lucking, enseignante de l'Ontario

Mme Lucking est instructrice spécialisée en ressources d’apprentissage et s’occupe de rattrapage en lecture à l’école publique Maxville, dans la petite bourgade du même nom, qui compte 850 habitants, dans l’est de l’Ontario. L’automne dernier, sa communauté et sa famille lui ont fourni du soutien financier pour qu’elle aille superviser l’établissement d’une nouvelle école dans la campagne de l’ancienne colonie française. Dans ce but, et pour qu’elle enseigne pendant les trois premiers mois de l’année scolaire, l’école Maxville lui a accordé un congé de six mois.

«À Madagascar, bien que l’éducation soit gratuite, nombre de familles n’ont pas les moyens d’acheter les chaussures, cahiers et crayons nécessaires aux enfants qui fréquentent l’école, explique Mme Lucking. Nous travaillons aussi avec la communauté pour améliorer l’agriculture et mieux nourrir les enfants.

«Quand je suis arrivée, les enfants n’avaient pas d’énergie. Deux mois plus tard, après avoir régulièrement mangé, ils étaient plein d’enthousiasme.»

Mme Lucking, qui enseigne depuis 20 ans, cherchait une occasion de travailler dans un pays en développement depuis un certain temps, quand elle a rencontré une femme de la région d’Ottawa qui a fondé un orphelinat à Antananarivo, la capitale de l’île. Cette rencontre l’a poussée à travailler à l’orphelinat pendant un mois à l’été de 2007. À Noël, elle est retournée à Madagascar avec 5 000 $ pour acheter une terre en vue d’y construire une école. La veille de son retour, une paroisse anglicane lui a fait don d’un lopin de terre.

De retour au Canada, elle a obtenu d’autres fonds pour construire une école de langue anglaise dans le pays fortement touché par la pauvreté. En juillet, après avoir obtenu 20 000 $ à Maxville et dans les alentours, elle est retournée à Madagascar. Cette somme était suffisante pour construire l’école, qui a ouvert ses portes en octobre dernier. Le nom de l’école est Sekoly Lovasoa, qui signifie «école qui transmet aux enfants le nécessaire pour apporter des changements positifs dans le monde».

On continue de financer l’école grâce à la collecte de fonds. Chaque mois, la somme de 308 $ est suffisante pour couvrir les salaires de la direction de l’école, de deux pédagogues, de deux assistants et d’un garde de sécurité, tous de la région. La bâtisse compte trois salles de classe et accueille 65 élèves. Offrir un repas chaque midi à ces élèves coûte 520 $ par mois.

«Certains des élèves ont neuf ans et n’avaient jamais fréquenté l’école, affirme Mme Lucking. C’est probablement leur dernière chance de pouvoir aller à l’école. Et la communauté est très reconnaissante.»

En fonction des fonds recueillis, on prévoit ajouter des salles de classe et ouvrir une bibliothèque pour la communauté. Quant à Mme Lucking, elle souhaite retourner à Madagascar le plus rapidement possible.

Les pédagogues bénévoles séjournent gratuitement dans une chambre située au-dessus de l’école. «Bien que les enseignantes et enseignants doivent régler leur billet d’avion et ne reçoivent pas de salaire, ils vivent l’une des expériences les plus inoubliables de leur vie.»

Pour plus de renseignements ou pour faire un don, visitez le site www.madagascarschoolproject.com

Prix de musique

Un enseignant de musique remporte un prix national

Alex Voros, un enseignant de musique torontois, se rendra gratuitement à Vancouver ce mois-ci pour assister à la cérémonie de remise des prix Juno, qui se déroulera du 26 au 29 mars.

M. Voros, membre du personnel de l’école Chaminade, est lauréat du quatrième Prix du professeur de musique 2008 de MusiCompte, un organisme de bienfaisance chargé de promouvoir l’enseignement de la musique au Canada.

MusiCompte est associé à l’Académie canadienne des arts et des sciences de l’enregistrement.

«C’est vraiment le point culminant de mes 30 ans de carrière, raconte M. Voros. C’est comme si on récompensait l’ensemble de ma carrière. J’accepte toutefois ce prix au nom des enseignantes et enseignants de musique qui travaillent très, très fort. Les temps sont durs pour la musique et les arts.»

Grâce à la musique, M. Voros crée un «havre de paix où de nombreux jeunes à risque expriment leur créativité», explique Michael Wallace, directeur de Chaminade, qui a nominé M. Voros pour le prix.

M. Voros en convient et ajoute qu’«il se passe des choses incroyables quand on étudie la musique. Le taux de décrochage de nos élèves est de un pour cent seulement».

Pas besoin d’être un prodige pour être accepté dans l’un des ensembles musicaux de M. Voros, qui vont du Dixieland à la musique liturgique. «Je ne fais pas passer d’auditions, mais je demande à tous de travailler fort et de croire en eux-mêmes.»

De toute évidence, l’enthousiasme de M. Voros pour la musique fait plus qu’influencer ses propres élèves. Plus de 200 des 900 élèves de l’école font partie de l’un de ces ensembles, sans compter ceux qui sont sur la liste d’attente. Ces ensembles et d’autres groupes ont remporté d’importants concours au Canada et en Amérique du Nord. «Mes jeunes savent jouer», déclare-t-il.

M. Voros rend hommage à son enseignant de 11e année, Ronald Chandler, qui l’a poussé à faire carrière en musique. «Je lui suis très reconnaissant de m’avoir encouragé à poursuivre mes études en musique», raconte M. Voros, qui est musicien professionnel depuis l’âge de 17 ans et est présentement tromboniste régulier du Swing Shift Big Band.

Outre un voyage toutes dépenses payées au gala des prix Juno, M. Voros a reçu 10 000 $ et un trophée en verre fabriqué à la main. De plus, l’école Chaminade, qui fait partie du Toronto Catholic District School Board, a reçu 10 000 $ pour son programme de musique. Ce montant servira à diversifier la musicothèque de l’école.

Seuls les pédagogues qui ont reçu une subvention de MusiCompte Band Aid sont admissibles au Prix du professeur de musique de l’année. MusiCompte a jusqu’à maintenant remis 3 millions de dollars en subventions Band Aid à quelque 270 écoles au Canada.

Pour en savoir plus, ou pour proposer quelqu’un, visitez le site www.musicounts.ca.

Prix en rÉdaction

Récompense en création littéraire pour les jeunes Autochtones

Les jeunes autochtones auront l’occasion de montrer leur talent littéraire en participant au concours pour remporter le Prix James Bartleman pour la création littéraire des jeunes Autochtones.

Jusqu’à six élèves autochtones de l’Ontario pourraient ainsi se démarquer. On accepte divers genres littéraires, notamment les nouvelles, les poèmes, les dissertations, les pièces de théâtre et les chansons. Les œuvres doivent être originales et avoir été créées par les élèves.

Les lauréats de 2008 ont parlé de la nature, des relations familiales et des idées préconçues sur les peuples autochtones.

Cette initiative du gouvernement de l’Ontario commémore le mandat de James K. Bartleman en tant que lieutenant-gouverneur de l’Ontario (2002 à 2007) et souligne la large vision de M. Bartleman pour l’avenir de la jeunesse autochtone et ses efforts pour promouvoir la littératie parmi eux.

Chaque prix de 2 500 $ est accompagné d’un voyage à Toronto pour assister au Festival autochtone du Canada en novembre.

Les élèves autochtones qui fréquentent une école en Ontario sont admissibles à participer à l’une des deux catégories suivantes : enfants de 12 ans et moins, et jeunes de 13 à 18 ans. La date limite pour soumettre sa candidature est le 31 mai 2009.

Pour en savoir plus, visitez www.ontario.ca/bartleman, composez le 416-314-7526 ou envoyez un courriel à info.mci@ontario.ca.

Participez!

Initiative web/télé de TVO

TVO, en partenariat avec Q Media Solutions, vient de lancer le site de réseautage social www.getinvolved.ca (anglais) que l’on peut décrire comme une combinaison de Facebook, de Craigslist et de Lavalife à l’intention des personnes qui veulent changer le monde.

Cette initiative offre un forum de discussion et favorise l’engagement communautaire. Get Involved, série documentaire diffusée quotidiennement aux heures de grande écoute sur TVO, en fait la promotion.

La série présente les questions de l’heure et couvre les événements qui donnent de l’espoir. En outre, elle vise à encourager les gens à participer socialement et démontre la valeur d’un tel engagement.

«En Ontario, de nombreux élèves cherchent des occasions de faire du bénévolat. Le site offre aux élèves, aux pédagogues et aux parents la possibilité de faire partie d’un réseau social pour établir des liens directs avec des organismes à but non lucratif, des œuvres de charité et des organismes communautaires», déclare Lisa de Wilde, directrice générale de TVO.

«Tout ce que nous faisons à TVO vise à rendre la population ontarienne plus forte, plus active et plus engagée socialement, poursuit Mme Wilde. Grâce à la création de partenariats comme www.getinvolved.ca, nous profitons des médias électroniques pour avoir encore plus d’effet sur le monde.

causerie-midi
image

Nadine Carpenter (à gauche), agente du règlement à l’amiable et Hershel Gross du Barreau du Haut-Canada ont parlé d’autres façons de régler les différends avec des représentants du College of Physicians and Surgeons et de l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario lors d’une causerie-midi organisée pour le personnel de l’Ordre en novembre.

Études autochtones
image

L’Ordre a organisé des rencontres entre le 11 novembre et le 17 décembre derniers avec des représentants des communautés des Premières nations, des Métis et des Inuits de l’Ontario. Les sujets de discussion ont porté sur la profession enseignante et la formation à l’enseignement chez les Autochtones.

Soutien aux ÉlÈves

Initiative Autochtone Martin

L’ancien premier ministre Paul Martin et des professionnels de cabinets comptables affiliés à l’Institut canadien des comptables agréés désirent aider les élèves autochtones du secondaire à obtenir leur diplôme et à poursuivre une carrière en comptabilité.

L’organisme caritatif Initiative Autochtone Martin appuie des activités qui permettront aux Autochtones d’accéder à des outils pour réussir.

À Brantford et à Fort Frances, les cabinets comptables KPMG et BDO Dunwoody suivront jusqu’à neuf élèves qui ont un intérêt pour la comptabilité. Les animateurs espèrent que d’autres professions leur emboîteront le pas.


Pour en connaître davantage sur les journées internationales et autres événements, visitez www.un.org ou www.unac.org.

Haut de la page