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Septembre 1999

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Purpball.gif (183 bytes) Numéros précédents

Purpball.gif (183 bytes) Bloc générique

Purpball.gif (183 bytes) Mot de la présidente

Purpball.gif (183 bytes) Mot de la registrateure

Purpball.gif (183 bytes) Courrier des lecteurs

Purpball.gif (183 bytes) En couverture :
Consommation de tabac, de drogues et d'alcool en hausse chez les élèves du secondaire

Purpball.gif (183 bytes) Participer à l'apprentissage

Purpball.gif (183 bytes) Incertitude persistante sur de nombreuses questions complexes relatives à l'attestation de qualifications
Purpball.gif (183 bytes) Le harcèlement entre
élèves pourrait donner lieu
à des poursuites contre les écoles

Purpball.gif (183 bytes) La rédaction d’un journal à l’ère d’Internet

Purpball.gif (183 bytes) Des professeurs remarquables

Purpball.gif (183 bytes) Pages bleues

Purpball.gif (183 bytes) Des changements en éducation

Purpball.gif (183 bytes) De la lumière au bout du tunnel : des solutions pour aider les élèves en difficulté à éviter les comportements de crise

Purpball.gif (183 bytes) Un mode de vie sain pour un cœur en santé : Les enfants sont le point de mire

Purpball.gif (183 bytes) La télévision par câble : des trésors sans publicité pour les éducateurs
Purpball.gif (183 bytes) Revoir le mythe de l’invincibilité
de l’adolescence

Purpball.gif (183 bytes) Questions fréquentes

Purpball.gif (183 bytes) Cyberespace

Purpball.gif (183 bytes) Lu, vu, écouté

Purpball.gif (183 bytes) ... en terminant

AG00041_.gif (503 bytes) De retour à la page d'accueil
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Les limites de l’attestation
Je suis détenteur de la compétence pour enseigner, mais j’exerce une autre fonction et je vis à l’extérieur de l’Ontario. C’est donc avec intérêt que j’ai lu la proposition du premier ministre Harris sur l’attestation des qualifications des enseignants dans le numéro de juin.

J’ai fait des études en éducation en raison de mon amour de l’enseignement, puis j’ai reçu l’appel de la religion, beaucoup plus fort celui-là. J’ai eu le plaisir de faire de la suppléance avant d’être affecté à un premier ministère. Une fois affecté en Saskatchewan, j’ai décidé de m’inscrire à l’Ordre et d’en demeurer membre en règle.

L’enseignement a toujours été une option si jamais on me demandait de servir une petite paroisse qui ne pourrait se permettre un pasteur à temps plein. C’est même une option pour nos écoles confessionnelles. Je crains que ceux d’entre nous qui aimeraient conserver la possibilité d’enseigner n’aient plus accès à cette option en raison de la proposition d’attestation obligatoire des qualifications. Je sais aussi qu’une mise à jour serait des plus utiles si je décidais de revenir à l’enseignement.

Michael Diegel
Le révérend Michael Diegel est pasteur luthérien de la paroisse d’Archerwill en Saskatchewan.

Deux suggestions
La section Lu, vu, écouté n’indique pas le groupe d’âge auquel s’adresse le matériel revu. Dans la critique de How to Grade for Learning du numéro de juin, il n’était pas clair si le matériel et les stratégies mentionnés visaient les élèves du cycle primaire, moyen, intermédiaire ou supérieur. La même incertitude s’appliquait à la critique de Keys to Literacy for Pupils at Risk. Pourquoi ne pas avoir un code recommandant les cycles visés pour chaque article critiqué comme le font les maisons d’édition dans leur catalogue?

Aussi, j’aimerais voir plus d’articles sur les situations scolaires ailleurs au Canada et dans le monde. L’article sur Singapour était révélateur.

Hymie Guttman
Hymie Guttman enseigne les médias et l’anglais à la Sutton District High School dans la région de York.

Une pénurie? Changez les règles
Si la pénurie d’enseignants est si grave qu’on le dit en Ontario, fera-t-on des pressions sur notre régime de retraite pour qu’il change la règle archaïque qui ne nous permet d’enseigner que pendant 20 jours?

Heather Houston
Heather Houston est à la retraite et enseigne dans les écoles rurales de Leeds-Grenville.

Les suppléants, ces méconnus
Suggérer que les suppléants ont moins de responsabilité («Une carrière taillée sur mesure», juin 1999) témoigne certainement de la méconnaissance du rôle que nous jouons dans le fonctionnement quotidien de la classe. Se voir accorder la responsabilité d’une classe d’enfants que l’on a probablement encore jamais vus et effectuer le travail requis pour absorber toutes les nuances du rôle de l’enseignant que l’on remplace sont, d’une certaine façon, des fonctions fort différentes voire plus difficiles que celles d’un enseignant titulaire. La seule réalité criante qui ressort de cet article, c’est le peu que l’on sait sur le suppléant «de la base» qui paie sa cotisation à l’Ordre et qui, jusqu’à tout récemment, était membre de la FEO.

Michael MacDonald
Michael MacDonald vie à Scarborough et fait de la suppléance depuis 27 ans.

Merci pour les conférences
Dans le numéro de mars, j’ai appris la tenue de la sixième conférence internationale sur la recherche en enseignement qui s’est tenue à Magog, au Québec. Quelle belle occasion de découvrir des enseignantes et enseignants qui ont parlé de leur travail et de leur expérience. Près de 90 conférenciers ont rendu difficile la tâche de n’en choisir que cinq par jour. C’était là une occasion rêvée pour quiconque en éducation de se ressourcer et de faire reconnaître son travail en enseignement après avoir rencontré et écouté des chercheurs qui savaient de quoi ils parlaient.

Moi qui viens d’un conseil de plus de 4 000 enseignantes et enseignants, j’en étais la seule représentante. J’ai eu la chance de voir la conférence annoncée dans Pour parler profession. Continuez à nous signaler ces événements.

Ann Marie Slak
Ann Marie Slak enseigne à la 7e et 8e année à la Blessed Trinity School à Mississauga.