L'Université Laurentienne enthousiasmée par son nouveau programme de formation à l'enseignement | PPP : de plus en plus de fournisseurs et de cours | Faits saillants du rapport annuel 2002 | La Bourse Atkinson incite la générosité | Test d'entrée à la profession pour les titulaires de carte temporaire | Doug Wilson, nouveau registrateur de l'Ordre | Un dirigeant de l'OECTA est nommé registrateur adjoint | Nouveau conseil de l'Ordre élu en ligne | Résultats des élections du Conseil 2003 | Votre nouveau conseil | Retraite et statut de membre | Déclaration des mauvais traitements infligés à des élèves | Trois nouveaux programmes obtiennent l'agrément | Décisions des panels de discipline



Décisions des panels de discipline

Des panels du comité de discipline ont ordonné la publication du sommaire de récentes décisions disciplinaires dans Pour parler profession.


MEMBRE : Shawn Ahluwalia
NUMÉRO DE MEMBRE : 435021
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 13 janvier 2003 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Shawn Ahluwalia de Brampton, résident de Kingston à l'époque où les événements ont eu lieu. Ahluwalia, âgé de 27 ans, a été certifié pour enseigner en 2000 et travaillait comme enseignant pour le conseil scolaire de district de Limestone. Ahluwalia a choisi de ne pas assister à l'audience ni d'y être représenté.

Les allégations de faute professionnelle contre Ahluwalia comprenaient : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à une élève des mauvais traitements d'ordre sexuel, verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint la Loi sur l'éducation; avoir commis un acte que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorant ou contraire aux devoirs de la profession; avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre et avoir fait preuve d'un manque de connaissances, de compétence, de jugement ou encore d'indifférence envers le bien-être des élèves dans la mesure où il est ou bien inapte à exercer ses obligations professionnelles ou encore que sa carte de compétence devrait être assortie de conditions.

Le panel a vu une vidéo d'une entrevue effectuée par le service de police de Kingston avec une élève de huit ans qui a déclaré qu'Ahluwalia avait détaché les boutons de son pantalon et l'avait touchée sexuellement plusieurs fois lorsqu'il avait agi à titre de tuteur ou de gardien.

Un représentant de la Société d'aide à l'enfance a témoigné à l'audience qu'il a interviewé l'élève et que le nom d'Ahluwalia a été ajouté au registre de l'enfance maltraitée de l'Ontario à la suite de cette enquête.

Le panel a souligné les points communs dans les témoignages des deux témoins et trouvé Ahluwalia coupable de faute professionnelle. Le panel a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Jagdish Bhadauria ou Jagdish Singh
NUMÉRO DE MEMBRE : 281371
DÉCISION : Suspension du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique du 17 au 20 février ainsi que le 5 mars 2003 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Jagdish Bhadauria de Toronto. Âgé de 63 ans, Bhadauria a été certifié pour enseigner en 1970 et occupait un poste d'enseignant au conseil d'éducation de Toronto, maintenant devenu le conseil scolaire de district de Toronto. Bhadauria a décidé de se représenter lui-même à l'audience avec l'aide de sa fille. Il n'était pas présent à l'audience du 5 mars.

Les allégations de faute professionnelle contre Bhadauria étaient les suivantes : avoir signé un ou des documents qu'il savait ou aurait dû savoir contenir de l'information fautive ou une déclaration fausse ou trompeuse; avoir enfreint la Loi sur l'éducation et ses règlements d'application; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession et avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Le panel a appris que Bhadauria avait envoyé plusieurs lettres dans lesquelles il faisait des accusations, des menaces et des commentaires désobligeants envers le directeur de l'éducation et des membres du conseil scolaire. Les lettres parlaient de persécution raciale, d'hypocrisie et du massacre de la Polytechnique à Montréal.

Le conseil scolaire avait suspendu Bhadauria pour ses gestes de janvier au 30 août 1990 et avait annulé son contrat le 31 août 1990.

Le panel a trouvé Bhadauria coupable de faute professionnelle et ordonné la suspension de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence pendant 18 mois, y compris la période de suspension de huit mois déjà imposée par le conseil.

Le panel a aussi ordonné que Bhadauria soit réprimandé en précisant que s'il se présentait lui-même pour être réprimandé par le comité, le reste de sa suspension pourrait être annulé. Bhadauria ne s'est pas présenté à la séance prévue pour la réprimande. Le reste de la suspension reste donc en vigueur.

La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Lubomira (Mira) Bondar
NUMÉRO DE MEMBRE : 247778
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique échelonnée sur quelques jours en mars, avril et juillet 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Lubomira (Mira) Bondar de Toronto. Âgée de 51 ans, Bondar a été certifiée pour enseigner en 1983 et travaillait comme enseignante au conseil scolaire de district de Peel. Bondar a choisi de se représenter elle-même à l'audience.

Les allégations contre Bondar étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à des élèves des mauvais traitements d'ordre verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint Loi sur l'éducation; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession; avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre et avoir fait preuve d'un manque de connaissances, de compétence, de jugement ou encore d'indifférence envers le bien-être des élèves dans la mesure où elle est ou bien inapte à exercer ses obligations professionnelles ou encore que sa carte de compétence devrait être assortie de conditions.

Le panel a écouté les témoignages d'éducateurs, d'enseignants et d'administrateurs chevronnés au cours des audiences qui ont duré sept jours. Les témoins ont parlé des retards fréquents de Bondar et de ses absences non justifiées, de son manque d'aptitude pour la gestion de classe, de son incapacité à évaluer les élèves et à enseigner le curriculum et de la manière abusive dont elle traitait les élèves. Le panel a aussi appris que Bondar n'acceptait ni les conseils, ni la discipline, ni les directives de ses collèges ou de la direction.

Le panel a noté que Bondar a dû être ramenée à l'ordre lors du contre-interrogatoire des témoins et qu'on lui a demandé de faire porter ses propos sur les allégations pesant contre elle lorsqu'elle a témoigné en son nom.

Le panel a considéré que les trois évaluations de rendement officielles présentées comme preuve montraient que Bondar avait omis de respecter les normes de la profession, avait eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre et était une enseignante incompétente.

Le panel a trouvé Bondar coupable de faute professionnelle et a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : David Edward Cummins
NUMÉRO DE MEMBRE : 107917
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 17 décembre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre David Edward W. Cummins de Pickering. Âgé de 58 ans, Cummins a été certifié pour enseigner en 1964 et travaillait comme enseignant, directeur adjoint et directeur au conseil scolaire de district de Toronto. Cummins a assisté à l'audience et était représenté par un avocat.

Les allégations contre Cummins étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à des élèves des mauvais traitements d'ordre sexuel, verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint Loi sur l'éducation; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession; avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre et avoir fait preuve d'un manque de connaissances, de compétence, de jugement ou encore d'indifférence envers le bien-être des élèves dans la mesure où elle est ou bien inapte à exercer ses obligations professionnelles ou encore que sa carte de compétence devrait être assortie de conditions.

Le panel a reçu un exposé conjoint des faits dans lequel Cummins n'a pas contesté les allégations ni les pénalités prévues.

Le panel a entendu que Cummins a entretenu des relations sexuelles avec un garçon de 11 ans qui était un de ses élèves de 6e année. La relation, qui a duré des années, comprenait des fellations et des attouchements sexuels. Les événements sont survenus lors de voyages de camping, à la maison de Cummins et dans un motel. Cummins avait enjoint la victime de garder ces choses secrètes, qu'il était normal que ce genre de choses se produise lorsque des gens s'aiment bien.

En octobre 1997, Cummins avait été acquitté par la Cour de l'Ontario de toutes les accusations relatives aux allégations d'agression sexuelle et de faute professionnelle envers un élève.

Le panel a aussi appris que Cummins avait embrassé une élève du niveau secondaire, caressé ses seins et s'était allongé nu, de la taille jusqu'aux pieds, avec elle. L'élève avait environ 17 ans à l'époque.

Cummins a démissionné de son poste au conseil en juin 1998.

Le panel a reçu un exposé conjoint des faits et l'accusé n'a pas contesté les allégations. Le panel a donc trouvé Cummins coupable de faute professionnelle. Le panel a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Charles Edward Dungey
NUMÉRO DE MEMBRE : 252534
DÉCISION : Suspension du certificat d'inscription et de la carte de compétence pendant deux ans

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 16 décembre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Charles Edward Dungey de London. Âgé de 43 ans, Dungey a été certifié pour enseigner en 1993 et était enseignant au conseil scolaire de district de Thames Valley. Dungey n'a pas assisté à l'audience, mais y était représenté par un avocat.

Les allégations contre Dungey étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir enfreint la Loi sur l'éducation ou ses règlements d'application; avoir enfreint une disposition législative se rapportant à son aptitude à détenir un certificat d'inscription et une carte de compétence; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession et avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Le panel a accepté un exposé conjoint des faits et un aveu de culpabilité par lequel il admettait avoir été accusé par le Service de police de London de possession et de production illégale de marijuana dans le but de profiter de ce trafic. Dungey avait plaidé coupable à cette accusation criminelle et avait reçu une amende pour ces infractions.

Le panel a ordonné la suspension du certificat d'inscription et de la carte de compétence de Dungey pendant une période de deux ans à partir du 16 décembre 2002. Le panel a aussi ordonné que Dungey soit réprimandé. La décision du panel concernant la faute professionnelle et l'avis de suspension et de réprimande sont inscrits au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : William Andrew Ghent
NUMÉRO DE MEMBRE : 396809
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel de comité de discipline a tenu une audience publique le 13 février 2003 relativement aux allégations de faute professionnelle contre William Andrew Ghent de Calgary. Âgé de 45 ans, Ghent a été certifié pour enseigner en Ontario en 1982 et travaillait comme enseignant pour le conseil de l'éducation de Calgary. Ghent a choisi de ne pas être présent à l'audience ni d'y être représenté.

Les allégations contre Ghent étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à une élève des mauvais traitements d'ordre sexuel, verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint Loi sur l'éducation; avoir contrevenu à une disposition législative qui se rapporte à son aptitude à détenir un certificat d'inscription et une carte de compétence; avoir contrevenu à une loi de façon à ce que les élèves sous sa supervision courent des risques; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession; avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre; avoir fait preuve d'un manque de connaissances, compétence, de jugement ou encore d'indifférence envers le bien-être des élèves dans la mesure où il est ou bien inapte à exercer ses obligations professionnelles ou que la carte de compétence devrait être assortie de conditions.

Le panel a entendu la preuve se rapportant aux deux incidents où Ghent a caressé et touché sexuellement une élève de 10e année dans sa classe. Dans un des cas, Ghent a mis ses mains dans les vêtements de l'élève et l'a embrassée sur la joue et dans le cou. Dans le deuxième cas, il a ouvert le manteau de l'élève, lui a passé les mains dans le dos, a touché ses fesses ainsi que ses seins par-dessus son polar.

Ghent a été condamné par la cour en 2002 pour agression sexuelle et exploitation sexuelle par rapport à ces incidents et a reçu une sentence conditionnelle de six mois ainsi qu'une période de probation de dix-huit mois.

Le panel a trouvé Ghent coupable de faute professionnelle et a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Elizabeth Ann Jeffrey ou Elizabeth Ann Carter
NUMÉRO DE MEMBRE : 266377
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 20 mars 2003 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Elizabeth Ann Jeffrey de Mississauga. Âgée de 31 ans, Jeffrey a été certifiée pour enseigner en 1996 et travaillait comme enseignante dans une école privée. Jeffrey a assisté à l'audience et était représentée par un avocat.

Les allégations de faute professionnelle contre Jeffrey étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à un élève des mauvais traitements d'ordre physique, sexuel, verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint la Loi sur l'éducation et la Loi sur l'Ordre des enseignantes et des enseignants de l'Ontario; avoir commis un acte que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorant ou contraire aux devoirs de la profession; avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Le panel a reçu de l'avocat de l'Ordre et de l'avocat de Jeffrey un protocole d'entente signé par Jeffrey où elle se déclarait coupable de faute professionnelle.

Le panel a appris que Jeffrey avait entretenu des relations sexuelles avec un élève de 17 ans qui suivait son cours de théâtre et à qui elle donnait du tutorat. Jeffrey avait permis à l'élève d'adopter un comportement inapproprié comme tirer sur les bretelles de son soutien-gorge, la chatouiller, la prendre dans ses bras et sur ses épaules. Jeffrey a aussi admis que la relation était de nature sexuelle.

Jeffrey a parlé de la relation à la mère de l'élève et lui a promis qu'elle n'aurait plus de relations avec lui. Malgré tout, les relations avec l'élève ont continué. Le directeur de l'école lui a par la suite fait part des limites à respecter entre les enseignants et les élèves, mais elle n'a pas cessé sa relation pour autant.

Jeffrey a démissionné en mai 2002.

Le panel a accepté le protocole d'entente et trouvé Jeffrey coupable de faute professionnelle. Il a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : David Brian Lynch
NUMÉRO DE MEMBRE : 196627
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 27 mars 2003 relativement à des allégations de faute professionnelle contre David Brian Lynch. M. Lynch a reçu l'autorisation d'enseigner en 1994 et enseignait dans une école privée. M. Lynch n'a pas assisté à l'audience et n'était pas représenté par un avocat.

Les allégations contre M. Lynch étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir enfreint la Loi sur l'éducation; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession; avoir eu une conduite qui ne sied pas à un statut de membre et avoir fait preuve d'un manque de connaissances, de compétence, de jugement ou encore d'indifférence envers le bien-être des élèves dans la mesure où il est ou bien inapte à exercer ses obligations personnelles ou encore que sa carte de compétence devrait être assortie de conditions.

Le panel a reçu un énoncé conjoint des faits, un plaidoyer de culpabilité et un énoncé conjoint sur la sanction remis par l'avocat de l'Ordre et par M. Lynch. Le panel a entendu la preuve des trois chefs d'accusation portés contre lui pour possession de pornographie juvénile. Il a plaidé coupable à l'un des chefs d'accusation, soit celui de possession de pornographie juvénile montrant des enfants de moins de 18 ans dans des poses sexuellement explicites. M. Lynch a reçu une sentence avec sursis de 9 mois, et 24 mois de probation. M. Lynch devra aussi respecter certaines conditions comme ne pas fréquenter les piscines, les parcs publics et les endroits où il pourrait y avoir des enfants de moins de 14 ans comme, par exemple, une garderie, un terrain d'école, un terrain de jeux ou un centre communautaire. Il n'a plus le droit de solliciter, d'occuper ou de garder un poste lui donnant la responsabilité de personnes de moins de 14 ans.

Le panel a accepté l'énoncé conjoint des faits, le plaidoyer de culpabilité et l'énoncé conjoint sur la sanction et ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. M. Lynch doit aussi s'engager à ne pas essayer de redevenir membre de l'Ordre, ni à enseigner ou à chercher un emploi dans un établissement d'enseignement, qu'il soit public ou privé, n'importe où en Ontario.

La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : William Francis Majovsky
NUMÉRO DE MEMBRE : 164053
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 10 octobre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre William Francis Majovsky de Sarnia. Âgé de 48 ans, Majovsky a été certifié pour enseigner en 1991 et travaillait comme enseignant au conseil scolaire de district de Lambton Kent. Majovsky a décidé de ne pas assister à l'audience et de ne pas y être représenté.

Les allégations de faute professionnelle contre Majovsky comprenaient : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir enfreint Loi sur l'éducation; avoir enfreint une disposition législative se rapportant à son aptitude à détenir un certificat d'inscription et une carte de compétence; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession; avoir une conduite qui ne sied pas au statut de membre et avoir fait preuve d'un manque de connaissances, de compétence, de jugement ou encore d'indifférence envers le bien-être des élèves dans la mesure où il est ou bien inapte à exercer ses obligations professionnelles ou encore que sa carte de compétence devrait être assortie de conditions.

Des témoins ont témoigné à l'audience des trois incidents où Majovsky avait usé de violence physique envers des élèves, même si le conseil interdit ce genre de discipline.

Lors du premier incident, un parent s'est plaint que Majovsky avait poussé un élève. Une réunion a eu lieu avec Majovsky et le parent. Le directeur a averti Majovsky de ne plus se servir de discipline physique avec les élèves.

La deuxième fois que Majovsky a poussé un élève, le conseil l'a averti par écrit que ses gestes n'étaient pas appropriés et mettaient en jeu sa carrière. À la suite d'un troisième incident où il a encore usé de force physique pour sortir un élève de sa classe, Majovsky a été suspendu pendant cinq jours et averti des conséquences.

Le panel a aussi appris que Majovsky a été trouvé coupable de trois chefs d'accusation d'agression physique à l'endroit de deux victimes, d'avoir utilisé un véhicule automobile de façon dangereuse pour le public, d'avoir manqué à son engagement, ainsi que de deux chefs d'accusation de ne pas avoir respecté l'ordonnance de probation, d'un chef d'accusation d'avoir fait des menaces de mort et d'un vol de plus de 5 000 $.

Le panel a trouvé Majovsky coupable de faute professionnelle et d'incompétence en tant qu'enseignant et ordonné la révocation de son certification d'inscription et de sa carte de compétence.

Si Majovsky veut redevenir membre de l'Ordre dans l'avenir, l'Ordre exigera qu'il fournisse, à ses frais, la preuve qu'il a suivi et réussi un programme de gestion de la colère, un rapport de vérification de son casier judiciaire, un rapport d'un psychologue prouvant qu'il est en mesure de contrôler son comportement et l'évaluation d'un expert sur les personnes à caractère violent.

La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Terence Julian Paul Munsey
NUMÉRO DE MEMBRE : 381210
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 17 décembre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Terence Julian Paul Munsey de Richmond Hill. Âgé de 50 ans, Munsey a été certifié pour enseigner en 1980 et travaillait comme enseignant au conseil scolaire de district de Toronto. Munsey a décidé de ne pas assister à l'audience et n'y était pas représenté par un avocat.

Les allégations de faute professionnelle contre Munsey comprenaient : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à des élèves des mauvais traitements d'ordre sexuel, verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint Loi sur l'éducation; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement jugé honteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession et avoir une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Le panel a obtenu un exposé conjoint des faits et un plaidoyer sans contestation indiquant que Munsey avait entretenu des relations inappropriées avec une jeune fille de 17 ans qui était son élève en 1990-1991.

Le panel a appris que Munsey s'était rendu à une boîte de nuit avec l'élève, l'avait rencontrée à une soirée, l'avait rencontrée à une résidence où elle gardait des enfants, avait consommé de l'alcool en présence de l'élève et avait eu des relations sexuelles avec elle.

Le panel a accepté l'exposé conjoint des faits et le plaidoyer, et trouvé Munsey coupable de faute professionnelle. Le panel a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence Munsey. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Robert James Peirce
NUMÉRO DE MEMBRE : 170799
DÉCISION : Suspension du certificat d'inscription et de la carte de compétence pendant deux mois.

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 12 février 2003 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Robert James Peirce de London. Âgé de 46 ans, Peirce a été certifié pour enseigner en 1983 et occupait un poste d'enseignant au conseil scolaire catholique de district de London. Peirce était présent à l'audience et y était représenté par un avocat.

L'allégation de faute professionnelle contre Peirce était d'avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Le panel a accepté l'exposé conjoint des faits expliquant que Peirce, qui n'avait aucune responsabilité par rapport à l'équipe de football senior, s'était rendu dans le vestiaire de l'équipe et avait effectué des fouilles dans les objets personnels de quelques élèves qui étaient partis à un match de football. Peirce a contrevenu aux lignes directrices du conseil dans ce genre de situation.

Peirce était d'accord que cela constituait une faute professionnelle et a plaidé coupable à l'allégation que sa conduite ne convenait pas au statut de membre.

Le panel a trouvé Peirce coupable de faute professionnelle et a ordonné la suspension de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence pour une période de deux mois, du 22 février au 21 avril 2003. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Ernest James Matthew Robinson
NUMÉRO DE MEMBRE : 101066
DÉCISION : Révocation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 6 décembre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Ernest James Matthew Robinson de Mississauga. Âgé de 48 ans, Robinson a été certifié pour enseigner en 1984 et travaillait comme enseignant pour le conseil scolaire catholique de district de London. Robinson a assisté à l'audience et y était représenté par un avocat.

Les allégations contre Robinson étaient les suivantes : avoir omis de respecter les normes de la profession; avoir infligé à des élèves des mauvais traitements d'ordre physique, sexuel, verbal, psychologique ou affectif; avoir enfreint Loi sur l'éducation; avoir enfreint une disposition législative se rapportant à son aptitude à détenir un certificat d'inscription et une carte de compétence; avoir commis des actes que les membres pourraient raisonnablement juger douteux, déshonorants ou contraires aux devoirs de la profession et avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Robinson n'a pas contesté les allégations contre lui lors de l'audience sauf pour ce qui est de l'allégation selon laquelle il aurait infligé à un élève des mauvais traitements d'ordre physique, sexuel, verbal, psychologique ou affectif. L'avocat de Robinson a expliqué que l'allégation n'était pas valable puisque la victime en question n'était pas une élève de Robinson et n'allait pas à l'école où Robinson enseignait.

Le panel a rejeté les observations de l'avocat.

Le panel a reçu la preuve que Robinson avait eu une conversation en ligne avec une élève de 13 ans au cours de laquelle il a prétendu s'appeler Jeff Matthews et être joueur de football à une école secondaire. Robinson a donné à la victime son numéro de téléphone et lui a plus tard dit son vrai nom et son âge dans une conversation téléphonique.

Robinson a par la suite rencontré l'élève, a mis les mains sur ses jambes et l'a embrassée. À une autre occasion, il lui a rendu visite chez elle lorsque ses parents étaient partis et a eu des relations sexuelles avec elle. La relation a duré trois ou quatre mois et Robinson a continué à avoir des relations sexuelles avec la victime, chez elle et à son appartement.

Robinson a été trouvé coupable en mars 2000 de deux chefs d'accusation pour avoir fait des attouchements sexuels ainsi que d'agression sexuelle. Il a reçu une sentence de 12 mois et été mis en probation pendant deux ans, période pendant laquelle il ne devait pas se retrouver avec des filles de 16 ans ou mois, sauf en présence d'un autre adulte. Il lui est aussi interdit de participer à du clavardage. Robinson a interjeté l'appel de sa condamnation et l'appel a été rejeté.

Le panel a accepté le plaidoyer de non-contestation de Robinson et l'a trouvé coupable de faute professionnelle pour toutes les allégations portées contre lui. Le panel a ordonné la révocation immédiate de son certificat d'inscription et de sa carte de compétence. La décision du panel est inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


MEMBRE : Laura Glen Sclater
NUMÉRO DE MEMBRE : 185257
DÉCISION : Réprimande

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 29 novembre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre Laura Glen Sclater de Barrie. Âgée de 33 ans, Sclater a été certifiée pour enseigner en Ontario en 1994 et travaillait comme enseignante au conseil scolaire de district du comté de Simcoe. Sclater a assisté à l'audience et y était représentée par un avocat.

L'allégation de faute professionnel contre Sclater était d'avoir eu une conduite qui ne sied pas au statut de membre.

Le panel a reçu un exposé conjoint des faits et des observations conjointes sur la pénalité, préparés par l'avocat de l'Ordre et l'avocat du membre présent à l'audience. L'exposé conjoint des faits indiquait que Sclater a écrit une série de lettres à un de ses élèves de 13 ans. Les lettres ont suscité une plainte présentée à l'Ordre et une audience sur l'aptitude professionnelle a résulté en l'imposition de conditions au certificat de Sclater. Les parents ont par la suite entamé une poursuite contre l'enseignante et le conseil scolaire. La police a fait une enquête, mais n'a pas porté d'accusation étant donné que l'élève avait confirmé qu'il n'y avait pas eu de contact physique entre lui et l'enseignante.

Quelques semaines après le retour de Sclater en salle de classe en septembre 2000, de nouvelles allégations de faute professionnelle à caractère sexuel ont été portées contre elle. Sclater a été accusée d'agression sexuelle, de contacts sexuels et d'invitation à des attouchements sexuels. Les allégations de faute à caractère sexuel ont aussi été ajoutées à la poursuite contre Sclater.

Sclater a été trouvée non coupable des accusations criminelles en juillet 2002 et le juge a souligné que la victime n'était pas un témoin fiable et avait exprimé des craintes en ce qui concerne la conduite de la mère de la victime. Une fois Sclater acquittée, la famille a annulé la poursuite contre elle. Les allégations de faute professionnelle à caractère sexuel ont aussi été annulées par l'Ordre.

Le panel a trouvé Sclater coupable de faute professionnelle et a ordonné qu'elle soit réprimandée. Les conditions ajoutées au certificat d'inscription et à la carte de compétence de Sclater à la suite de l'audience sur son aptitude professionnelles restent en vigueur. La décision du panel et l'avis de réprimande sont inscrits au tableau public de l'Ordre.


MEMBRE : ANONYME
DÉCISION : Avis d'audience annulé

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 2 octobre 2002 relativement à des allégations de faute professionnelle contre un enseignant d'expérience.

À l'audience, les parties se sont entendues sur un règlement comprenant l'annulation de l'avis d'audience ainsi que toutes les allégations contre l'enseignant. L'entente stipulait que l'enseignant recevrait un rappel de ses responsabilités professionnelles et suivrait un cours sur les limites à respecter entre les enseignants et les élèves. De plus, l'enseignant a accepté de subir une évaluation psychologique sur la sexualité et le développement des adolescents. L'évaluation sera envoyée à l'Ordre.

La plainte concernait des commentaires et des gestes posés envers une adolescente à l'école. L'enseignant lui aurait dit qu'il la trouvait sexy et l'aurait touchée de manière à la rendre mal à l'aise. L'enseignant aurait aussi dit à l'élève qu'ils feraient un beau couple.

L'enseignant a également fait des commentaires inappropriés aux élèves dans sa classe au sujet de sa femme, qui aurait été agressée sexuellement par une autre femme et aurait été enlevée par des extraterrestres. Il a aussi donné des dictées et préparé des questionnaires pour des élèves de 13 ans sur des romans dans lesquels le personnage mâle touchait les seins d'une femme, un jeune couple faisait l'amour et un jeune homme cachait du matériel pornographique sous son lit.

Le panel a accepté d'annuler l'avis d'audience et donné à l'enseignant un avertissement verbal pour lui rappeler ses responsabilités professionnelles.


MEMBRE : ANONYME
DÉCISION : Avis d'audience annulé

Un panel du comité de discipline a tenu une audience publique le 10 février 2003 relativement à des allégations de faute professionnelle contre un membre de l'Ordre qui avait fourni de faux renseignements au conseil scolaire dans sa déclaration d'expérience.

Une proposition a été présentée au panel pour demander que l'avis d'audience soit annulé et que le membre ait la chance d'expliquer par écrit les événements ayant mené à la plainte déposée à l'Ordre.

Le membre a expliqué qu'il avait donné les documents à sa femme pour qu'elle les remette au conseil scolaire. Sa femme aurait réorganisé, de son propre chef, l'information en la rendant inexacte et l'aurait envoyée au conseil sans que son mari sache que l'information avait été modifiée.

Le panel a accepté la proposition à condition que le cas soit publié dans Pour parler profession, sans mentionner le nom du membre, pour montrer que les membres sont entièrement responsables de l'information envoyée en leur nom. Les membres du panel ont aussi donné des conseils au membre sur cette affaire.

L'avis d'audience a été annulé et la décision du panel ne sera pas inscrite au tableau public des membres de l'Ordre.


Programme de règlement à l'amiable

Lorsqu'il est approprié de le faire, l'Ordre a recours au programme de règlement à l'amiable pour faciliter la résolution de plaintes touchant les membres de la profession. Ce programme est volontaire et ne porte pas préjudice aux parties. Les ententes qui découlent de ce processus protègent l'intérêt du public et sont semblables aux décisions rendues à la suite d'une enquête ou d'une audience. Les comités de l'Ordre prennent en compte l'intérêt du public pour déterminer si la publication est nécessaire. L'Ordre veille au respect de toutes les ententes conclues par l'entremise du programme de règlement à l'amiable.

STANLEY MICHAEL HALINIAK
NO DE MEMBRE : 112925
DÉCISION : Annulation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

À la suite d'un avis transmis par le conseil scolaire de district de Toronto, le registrateur a déposé une plainte contre Stanley Michael Haliniak, enseignant du secondaire, relativement à des allégations selon lesquelles il aurait frotté son bras contre les seins de 15 élèves. Le membre a plaidé coupable à une accusation d'exploitation sexuelle à l'endroit d'une élève de 18 ans. Les autres accusations criminelles ont été retirées.

Le comité d'enquête a ratifié le protocole d'entente entre le membre et l'Ordre dans lequel M. Haliniak a accepté :

  • de remettre sa démission à l'Ordre;
  • l'annulation de sa carte de compétence par le registrateur;
  • de ne pas tenter de redevenir membre de l'Ordre pendant cinq ans et de ne pas enseigner dans une école élémentaire, secondaire, publique, privée ou catholique;
  • la publication de son nom, d'un sommaire de la plainte et de la nature de la résolution dans Pour parler profession / Professionally Speaking;
  • l'inscription au tableau public que le membre a démissionné de l'Ordre et que le registrateur a annulé sa carte de compétence. L'avis indique également qu'au moment de la démission du membre, une enquête sur des allégations de faute professionnelle était en cours concernant les attouchements d'élèves de sexe féminin auxquels se serait livré le membre;
  • l'avis transmis par l'Ordre de l'annulation de la carte de compétence du membre à son ancien employeur et aux administrations scolaires qui reçoivent régulièrement ce type d'avis sur les mesures disciplinaires.

MICHEL GUY LAUNAY
NO DE MEMBRE : 231883
DÉCISION : Annulation du certificat d'inscription et de la carte de compétence

À la suite d'un avis transmis par le conseil scolaire de district de Limestone, le registrateur a déposé une plainte contre Michel Guy Launay, enseignant à l'élémentaire, relativement à des allégations selon lesquelles il aurait permis à des élèves de sexe féminin de s'asseoir sur ses genoux et de lui brosser les cheveux. Le registrateur a allégué également que le membre frottait le dos des élèves sous leurs vêtements, qu'il les chatouillait et qu'il les faisait monter sur son dos pour leur faire faire des «tours à cheval».

Le comité d'enquête a ratifié le protocole d'entente entre le membre et l'Ordre dans lequel M. Launay a accepté :

  • de remettre sa démission à l'Ordre;
  • l'annulation de sa carte de compétence par le registrateur;
  • de ne jamais tenter de redevenir membre de l'Ordre;
  • de ne pas enseigner dans une école publique, privée ou catholique;
  • la publication de son nom, d'un sommaire de la plainte et de la nature de la résolution dans Pour parler profession / Professionally Speaking;
  • l'inscription au tableau public que le membre a démissionné de l'Ordre et que le registrateur a annulé sa carte de compétence. L'avis indique également qu'au moment de la démission du membre, une plainte de faute professionnelle déposée contre lui faisait l'objet d'une enquête;
  • l'avis transmis par l'Ordre de l'annulation de la carte de compétence du membre à son ancien employeur et aux administrations scolaires qui reçoivent régulièrement ce type d'avis sur les mesures disciplinaires.

DOUGLAS W. MANNING
NO DE MEMBRE : 169857
DÉCISION : Avertissement du comité d'enquête

Le registrateur de l'Ordre a allégué que pendant la période de 1999 à septembre 2000, Douglas W. Manning a eu un comportement déplacé envers une élève. Il aurait notamment discuté de renseignements personnels sur lui-même, aurait donné des cadeaux à l'élève, lui aurait offert de la conduire à l'école et chez elle, et lui aurait écrit une lettre personnelle inconvenante.

Le comité d'enquête a ratifié le protocole d'entente entre le membre et l'Ordre dans lequel M. Manning a accepté :

  • d'être réprimandé par le comité d'enquête;
  • de suivre un cours, à ses frais, sur les effets chez les adolescents de la rupture des liens de confiance qui marquent la relation élève-enseignant;
  • la publication de son nom, d'un sommaire de la plainte et de la nature de la résolution dans Pour parler profession / Professionally Speaking.

MEMBRE NON IDENTIFIÉ
DÉCISION : Avertissement du comité d'enquête

Après un avis transmis par un conseil scolaire, le registrateur a déposé une plainte contre un enseignant du secondaire relativement à des allégations selon lesquelles il aurait agressé un élève de sexe masculin en lui donnant un coup de poing et en l'empoignant.

Le comité d'enquête a ratifié le protocole d'entente entre le membre et le registrateur dans lequel le membre a accepté :

  • de suivre un cours, à ses frais, sur le contact physique avec les élèves et les mesures disciplinaires à l'endroit des élèves;
  • de suivre un cours en gestion de classe;
  • de recevoir un avertissement écrit du comité d'enquête;
  • la publication d'un sommaire de la plainte et de la nature de la résolution dans Pour parler profession / Professionally Speaking, sans que soit identifié le membre.

précédente


Accueil | Bloc générique | Archives

Mot de la présidente  |   Mot du registrateur  |   Des professeurs remarquables  |   Pages bleues
Échos de la profession  |   Lu, vu, écouté  |   Calendrier  |   Cyberespace  |   Questions fréquentes  |   Courrier des lecteurs

Ordre des enseignantes et des enseignants de l'Ontario
121, rue Bloor Est,
Toronto ON  M4W 3M5
Téléphone : 416-961-8800 Télécopieur : 416-961-8822 Sans frais en Ontario : 1-888-534-2222
www.oct.ca
revue@oct.ca