La première assemblée générale annuelle de lOrdre
fait salle comble
La toute première assemblée générale annuelle de lOrdre des
enseignantes et des enseignants de lOntario a eu lieu le 30 mai et a fait salle
comble à la salle du conseil dans les bureaux de lOrdre au centre-ville de Toronto.
La période de questions a démontré le vif intérêt des membres pour leur ordre
professionnel.
Plus de 180 membres de lOrdre et du personnel se sont rassemblés dans la salle
du conseil pour écouter le rapport des activités de lOrdre en 1997 ainsi
quune présentation par les présidentes et présidents des comités de
lOrdre.
La présidente Donna Marie Kennedy a souhaité la bienvenue aux membres et leur a
rappelé le mandat de lOrdre et le rôle que les enseignantes et enseignants peuvent
jouer dans lorientation de la profession en Ontario. «Un ordre professionnel
autoréglementé a besoin de prendre le pouls de ses membres, et cest ce que nous
avons fait. LOrdre a créé de nombreux partenariats pendant sa première année
dexistence. Et jespère que vous nous transmettrez vos suggestions et
commentaires afin de nous aider à tracer le futur de notre profession.»
«La transparence constitue un élément important dans le mandat de lOrdre,
a-t-elle ajouté, et les membres du public au sein du conseil ont très bien compris les
enjeux de la profession. En effet, tous les membres du conseil reconnaissent
limportance de viser tant lintérêt du public que celui de la profession.»
Kennedy a souligné les succès de lOrdre, notamment la présentation faite
pendant le débat entourant le projet de loi 160 qui visait à garantir que du personnel
enseignant qualifié seulement enseigne aux élèves de lOntario. Elle a également
fait mention de ladoption du code déthique pour les membres du conseil et du
Règlement sur la faute professionnelle, ainsi que de lélaboration dun cadre
de formation.
La registrateure, Margaret Wilson, a souligné dautres réalisations
dimportance pendant la première année dexistence de lOrdre : la
tenue délections provinciales pour le conseil, le transfert de la compétence du
Règlement 184/97 sur les qualifications requises pour enseigner, ainsi que le lancement
dun site web.
FINANCES
À leur arrivée le matin, les membres ont reçu une copie du premier rapport annuel de
lOrdre qui comprend les états financiers. Le président du comité des finances,
Paul Charron, a mis les finances de lOrdre en perspective en expliquant les principes
qui guident le travail de son comité.
«Le comité sassure que les services sont suffisamment financés pour répondre
aux exigences de la législation, que la cotisation annuelle exigée est raisonnable et
que lon accumule des ressources financières pour garantir la stabilité et
lindépendance de lOrdre», a-t-il dit.
Comme prévu, le processus disciplinaire de lOrdre a retenu une bonne partie de
lattention et des questions des membres et du public en 1997.
Le président du comité denquête, Harry Mulvale, a répondu à bon nombre de
questions en expliquant le rôle et la compétence du comité dans le rejet dune
plainte, la possibilité de réprimander ou de conseiller un membre, le renvoi dune
plainte au comité de discipline ou daptitude professionnelle ou encore la
possibilité de prendre les mesures appropriées.
Mulvale a souligné que lOrdre avait entrepris 54 enquêtes pendant sa première
année dont plus de la moitié était des infractions de nature sexuelle. Le comité a
rendu sept décisions après que le Règlement sur la faute professionnelle est entré en
vigueur en décembre 1997. Il a renvoyé six cas au comité de discipline en vue
dune audience publique et a réprimandé un membre sur sa conduite professionnelle.
PÉRIODE DE QUESTIONS
La période de questions fut animée. Lune des premières questions soulevées
portait sur la possibilité pour les membres de parler librement de la formule de
financement sans crainte dêtre visé par une plainte. «Nous comptons sur
lOrdre pour mettre en relief lincidence néfaste de la formule de financement
pour le futur.»
Donna Marie Kennedy a pris le temps dexpliquer que le mandat de lOrdre est
exclusivement lié à lautoréglementation et à la délivrance de la compétence
pour enseigner. «À la parution du projet de loi 160, a précisé Kennedy, nous avons
formulé des commentaires sur les sections qui concernaient les enseignantes et
enseignants et nous nous sommes adressés au Ministre pour lui demander de retirer quatre
dispositions.»
Margaret Wilson a précisé quelle na pas et ne veut pas la compétence de
censurer les plaintes déposées contre les membres ni de les juger préalablement.
«Soyez assurés que le comité denquête est bien conscient que notre législation
est telle quil na pas à traiter les plaintes frivoles ou vexatoires.»
Les membres ont également soulevé la question des plaintes vexatoires ou frivoles qui
restent inscrites au dossier dun membre. Mulvale a expliqué limportance
dune tenue impeccable des dossiers dans le contexte dun ordre professionnel
transparent; il a aussi souligné quil serait dans le meilleur intérêt dun
membre que soit inscrite à son dossier une plainte frivole.
De nombreuses autres questions ont été posées sur la cotisation annuelle, Pour
parler profession, les qualifications requises pour enseigner et les normes
dexercice. Ensuite, un repas léger a été servi pour tous dans lair plus
frais de laire de réception. Peu de temps après que Kennedy a déclaré ouverte
lassemblée, il était évident que la climatisation de limmeuble aurait de la
difficulté à refroidir la chaleur dégagée par la foule, léclairage de
télévision et la température exceptionnellement chaude pour la saison; la chaleur dans
la salle du conseil était presque insupportable.
Toutes les questions et réponses de lassemblée générale annuelle sont
affichées dans le site web de lOrdre.
Agrément
initial accordé aux programmes de Laurentienne, Queens et Nipissing
Au printemps, les panels du comité
dagrément de lOrdre ont rendu visite à trois universités afin de procéder
à lagrément initial des facultés déducation par la profession enseignante,
soit une première. Les panels dagrément ont effectué un vaste examen des
programmes et soumis leurs rapports au comité dagrément du conseil. Le 12 juin, le
comité a approuvé :
Que la présidente du comité dagrément, conformément à lalinéa 5.03(h)
des règlements administratifs de lOrdre des enseignantes et des enseignants de
lOntario, mandate la registrateure daccorder la mention agrément initial
accordé à lUniversité Queens pour son programme consécutif dune
année et ses programmes concomitants de formation à lenseignement de quatre et
cinq ans, y compris ses programmes offerts en collaboration avec les universités de
Waterloo et Trent.
Que la présidente du comité dagrément, conformément à lalinéa 5.03(h)
des règlements administratifs de lOrdre des enseignantes et des enseignants de
lOntario, mandate la registrateure daccorder la mention agrément
initial conditionnel à lUniversité Laurentienne pour son programme consécutif
de formation à lenseignement dune année.
Que la présidente du comité dagrément, conformément à lalinéa 5.03(h)
des règlements administratifs de lOrdre des enseignantes et des enseignants de
lOntario, mandate la registrateure daccorder la mention agrément
initial accordé à lUniversité Nipissing pour son programme consécutif de
formation à lenseignement dune année.
Pour plus de renseignements, lisez Pour bien former le corps
enseignant en Ontario dans ce numéro .
Lexamen
minutieux de lOrdre protège le public et confirme les qualifications requises pour
enseigner
Les conseils scolaires ontariens ont
garanti à lOrdre quenviron 140 enseignantes et enseignants ne retourneront
pas en classe en septembre parce quils ne sont pas membres en règle de lOrdre
et ce, malgré tout le travail accompli pendant des mois en vue de reconnaître leurs
qualifications.
Ces 140 personnes sont les dernières qui restent des 2 200 personnes qui détenaient
un poste en enseignement en février même si elles nétaient pas membres en règle
de lOrdre. Une équipe spéciale composée de membres du personnel de lOrdre a
travaillé avec le personnel des ressources humaines des conseils scolaires et les
personnes concernées pour recueillir leurs qualifications et les évaluer.
Des enquêteurs sur les fraudes de deux corps policiers assurent un suivi sur les
dossiers soumis par deux enseignants après que du personnel de lOrdre a
découvert que ces documents semblaient avoir été contrefaits. Ces deux personnes
étaient à lemploi de deux grands conseils scolaires du sud de lOntario.
LOrdre a entrepris une vérification massive des qualifications des enseignantes
et des enseignants en février une fois que les cotisations envoyées par les conseils
scolaires ont été jumelées à des membres au tableau de lOrdre. Environ 2 200
enseignantes et enseignants en Ontario nétaient pas inscrits au tableau, nous
permettant ainsi de croire que certaines de ces personnes ne détenaient pas les
qualifications requises pour enseigner en Ontario.
Au même moment, des plaintes de parents et les médias se concentraient sur la
question des personnes non qualifiées régulièrement embauchées pour faire de la
suppléance. Lexamen fait par les médias portait principalement sur le Conseil des
écoles séparées catholiques de Dufferin-Peel, lun des plus importants de la
province avec plus de 4 500 enseignantes et enseignants, qui comptait de nombreuses
personnes non qualifiées sur sa liste de suppléance malgré un surplus
denseignantes et denseignants sans emploi dans la région.
La registrateure, Margaret Wilson, a remercié les conseils scolaires de la province
davoir collaboré avec lOrdre. «Le règlement de la situation des
qualifications des enseignantes et des enseignants a nécessité un travail considérable
de la part des conseils scolaires et du personnel de lOrdre. Nous sommes
reconnaissants aux conseils de laide fournie et ce, malgré les autres défis
quils doivent relever ces temps-ci.»
«Il semble que lOrdre naura pas à avoir recours à des mesures
judiciaires; nous sommes satisfaits du travail accompli avec les conseils qui a permis de
réduire le nombre de cas à 140.»
La plupart des 2 200 enseignantes et enseignants répertoriés en février
nétaient pas inscrits, détenaient une carte de compétence temporaire arrivée à
échéance, avaient été suspendus pour non-paiement de la cotisation en 1997,
détenaient une attestation dadmissibilité mais pas une carte de compétence
temporaire ou encore étaient diplômés dune faculté déducation de
lOntario en 1997 et ne sétaient pas inscrits.
Avec ses 165 000 membres, lOrdre est lorganisme dautoréglementation
le plus important au Canada.
Jim
Sherlock nommé au conseil de lOrdre
|
En mai, Jim Sherlock a
été nommé au conseil à titre de membre représentant le public pour remplacer Alfred
Lorenzi. Sherlock est administrateur des affaires au diocèse catholique romain de
Hamilton et président du conseil dadministration du Conseil scolaire de district
catholique de Halton. |
Il détient une maîtrise en éducation de
lUniversité de Toronto et une maîtrise en administration des affaires de
lUniversité McMaster à Hamilton. Il a aussi été directeur du personnel à la
ville de Mississauga, surintendant de ladministration des affaires au Conseil des
écoles séparées catholiques de Hamilton-Wentworth, ainsi quenseignant et
entraîneur à la Bishop Macdonell High School à Guelph.
À la prochaine réunion du conseil le 24 septembre, Jim Sherlock sera assigné à
divers comités.
Une
enseignante chevronnée à la tête de la Division des services aux membres
|
Lynda
Palazzi est la nouvelle coordonnatrice des Services aux membres de lOrdre. Elle
sest jointe à lOrdre en juillet après avoir occupé le poste de
surintendante des écoles au Conseil scolaire de district de Peel.
Palazzi est à la tête de la division responsable de lévaluation des
qualifications des nouveaux membres, de la délivrance du certificat dinscription et
de la carte de compétence, de la tenue des dossiers des membres et du service à la
clientèle membres de lOrdre, membres potentiels et membres du public. |
«Les enseignantes et enseignants de lOntario
méritent un service de la meilleure qualité qui soit, dit Lynda Palazzi. Chaque membre
est unique; chaque cas est particulier. Quand un membre nous téléphone ou nous écrit,
il sattend à rien de moins quun service professionnel. LOrdre continue
doffrir un service de cette qualité.»
«Nous sommes un nouvel ordre professionnel. Or, je sais que de nombreuses cartes de
compétence contenaient des erreurs au moment de leur envoi et le personnel a travaillé
darrache-pied pour corriger ces erreurs. Après tout, sassurer que les
certificats des enseignantes et des enseignants reflètent leurs qualifications constitue
un élément primordial dans le mandat de lOrdre.»
Lynda Palazzi a été enseignante, directrice des affaires scolaires, directrice
décole, ainsi que surintendante à divers dossiers, y compris ceux des programmes
et des ressources humaines. En mai 1998, elle a reçu le prix du Womens Achievement
Award du YMCA de Brampton dans la catégorie éducation et formation.
Premières décisions
rendues par les panels de discipline
Les panels du comité de
discipline qui ont participé aux premières audiences disciplinaires de lOrdre ont
rendu une décision dans huit cas. Les panels ont demandé quun sommaire des
décisions et des motifs soit publié dans Pour parler profession.
Le comité de discipline crée un panel pour entendre un cas quand une plainte
déposée contre un membre de lOrdre, en matière de faute professionnelle ou
dincompétence, a été renvoyée par le comité denquête aux fins dune
audience. Un panel compte trois membres du conseil : deux membres élus et un membre
nommé. Lhoraire dune audience est affiché à la page de la Division des
enquêtes et des audiences du site web de lOrdre deux semaines avant la date de
laudience.
Sommaire
des décisions
Confirmation de la compétence de lOrdre La compétence de lOrdre dans les questions de
discipline sapplique aux événements qui sont survenus avant la création de
lOrdre et le dépôt du Règlement sur la faute professionnelle. Cest ce
quun panel du comité de discipline a déterminé lors de laudience du 13
juillet.
Paul Cavaluzzo, avocat représentant George Fred Abdallah, un enseignant du comté de
Kent, alléguait que lOrdre navait pas la compétence dans ce cas étant
donné que lOrdre avait été créé en 1997 et que le Règlement sur la faute
professionnelle nétait pas entré en vigueur avant décembre cette année-là.
Abdallah est sous le coup de sept chefs daccusation de faute professionnelle liés à
lagression sexuelle et à la séquestration. Ces événements ont eu lieu en 1994.
Cavaluzzo a mis en doute la compétence de lOrdre en fonction dun nombre de
décisions qui limitent la compétence rétroactive des lois du travail en Alberta et en
Ontario. Il a remis en question léquité dans lapplication de règles
nouvellement adoptées et limposition de mesures punitives à des événements qui
sont survenus avant ladoption de ces règles.
Tom Forbes, avocat de lOrdre, a contesté cette motion sur deux plans. Il a
dabord cité lalinéa 3.2 de la Loi sur lOrdre des enseignantes et
des enseignants de lOntario qui dit : «Dans la poursuite de ses objets,
lOrdre est tenu de servir et de protéger lintérêt public.» Il a allégué
quil était équitable de tenir pour acquis que lassemblée législative de
lOntario voulait donner à lOrdre la compétence rétroactive dans les
instances sérieuses comme celle en question. Il a ajouté que lOrdre avait besoin
de la compétence rétroactive pour protéger lintérêt public et non pour
indûment punir les personnes.
Ensuite, il a ajouté que, bien que lOrdre nexistait pas au moment où les
événements se sont déroulés, les actes qui ont entraîné les accusations de faute
professionnelle constituaient un manquement grave à la Loi sur léducation
qui aurait entraîné des mesures disciplinaires sous lancien système. Il a
allégué que dans le cas Abdallah, le Règlement sur la faute professionnelle
navait pas mis en place des normes qui nexistaient pas auparavant.
Laudience des accusations de faute contre Abdallah reprendra plus tard cet
automne.
Lynn Daigneault quitte
son poste de membre du conseil
Lynn Daigneault a remis
sa démission au conseil le 31 août; elle avait été élue en février 1997 pour
représenter les agentes et agents de supervision. Jim Bryce, qui a terminé deuxième à
lélection, a indiqué son désir de représenter les agentes et agents de
supervision au conseil et ainsi la remplacer.
«Lynn a accompli un travail considérable au conseil; elle a participé à
lélaboration dune politique pour orienter lexercice des membres de la
profession, a dit la présidente de lOrdre Donna Marie Kennedy. Nous lui souhaitons
bonne chance dans ses projets futurs.»
Lynn Daigneault était membre du comité denquête. Elle a pris une retraite
anticipée du Conseil scolaire de district de Toronto où elle était surintendante des
écoles de la Earl Haig/Newtonbrook Family of Schools.
«Ce fut un honneur de représenter les agentes et agents de supervision au premier
conseil de lOrdre, a-t-elle dit. Les processus mis en place par lOrdre pour
lagrément, les normes dexercice, ainsi que les enquêtes et la discipline
sont excellents et permettront dorienter et daméliorer la profession
enseignante en Ontario.»
Politique sur le changement de nom LOrdre peut fournir sans frais
le certificat dinscription et la carte de compétence mis à jour à un membre qui
demande que lon change son nom dans les dossiers de lOrdre et sur ses
documents. Toutefois, avant que lOrdre change un nom, le membre doit nous remettre
les renseignements requis par la Loi sur le changement de nom et les règlements
administratifs de lOrdre.
CHANGEMENT DE NOM LÉGAL
Un membre qui a légalement changé de nom doit remettre loriginal ou une copie
notariée de lun des documents suivants :
- un certificat de changement de nom délivré par le registraire général de lOntario
- un certificat de naissance
- un avis de baptême (Québec)
- une Fiche dimmigration Canada
- un passeport utilisé pour entrer au Canada.
Un membre marié avant le 1er avril 1987 peut demander un changement de nom dans les
dossiers de lOrdre en fournissant un document qui donne la preuve :
- de la date et du lieu du mariage
- du nom de famille du membre immédiatement avant le mariage
- du nom de famille du membre adopté au mariage.
NOM DEMPRUNT
Un membre marié après le 1er avril 1987 qui a choisi dadopter le nom de famille
de son conjoint sans suivre la procédure légale doit remettre une copie du certificat de
mariage afin que lOrdre puisse changer son nom dans ses dossiers.
Cette nouvelle politique, adoptée par le conseil lors de la réunion du 27 mai, est
entrée en vigueur sur-le-champ.
Nous ne retournons pas un document envoyé par un membre. Loriginal dun
document présenté en personne aux bureaux de lOrdre peut être vérifié et remis
au membre.
Exigences en matière
déducation de lenfance en difficulté : des précisions
Dans un article paru
dans le numéro de mars de Pour parler profession,
Exigences de lOrdre pour la troisième partie en éducation de lenfance en
difficulté, les lecteurs ont pu avoir limpression quil ne faut
quune année dexpérience en enseignement pour obtenir la troisième partie de
la qualification additionnelle en éducation de lenfance en difficulté.
Ce nest pas le cas.
Il faut détenir la deuxième partie de cette qualification additionnelle et avoir
accumulé deux ans dexpérience en enseignement, dont lune en éducation de
lenfance en difficulté. LOrdre reconnaît lexpérience dans un milieu
intégré ou ségrégué en éducation de lenfance en difficulté.
Il ny a aucun changement au Règlement 184/97. Dorénavant, lOrdre accepte
lexpérience acquise dans un milieu ségrégué en éducation de lenfance en
difficulté, et cest là la seule modification. Vous voudrez bien excuser
lOrdre pour toute confusion que cet article a pu créer.
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